Jeudi 14 mai 2009 à 21:31

Silvio Berlusconi, président Italien de son état, a récemment décidé de resserrer la vis concernant la question de l'immigration en Italie. Qu'il faille lutter contre l'immigration massive n'est même plus la question. Aujourd'hui l'Italie est le pays dont la législation sur l'immigration est la plus stricte. C'est à dire que par exemple, une personne en situation irrégulière, généralement des sans papiers, est indiscutablement une personne à mettre dans charter direction son pays d'origine. A priori donc, il faudra des papiers en règle avant même de mettre les pieds en Italie.
De plus, le parlement italien demande au citoyen de faire preuve de délation concernant ces mêmes personnes en situation irrégulière. Est également légaliser la ronde citoyenne soutenant ainsi la ronde policière. On oubliera évidemment pas qu'un policier à des droits particuliers, des règles à respecter et une formation pour faire son boulot correctement. Un citoyen n'est pas un policier, chacun son boulot.

Aujourd'hui, en Italie, on chasse l'immigré comme hier, en Europe on chassait le juif. La délation était de mise, l'aide aux nazis était la bienvenu. Aujourd'hui en France, on parle de "délit de solidarité", parce qu'en France on cherche encore à les aider. Je ne peut que conspuer l'Italie, son côté de néo-facho et son président facho tout court. Je suis fière du comportement de certains Français qui gardent encore en eux les fruits de l'humanité et aident les personnes qui dans la misère tendent la main entre les barbelés à la recherche d'un peu d'aide pour s'en sortir.

Ne laissons pas les fachos entrés en France. Pardon, ne les laissons mettre la main sur le gouvernement. Ah non, ça aussi y a de grandes chances que ce soit déjà fait. Alors il n'y a plus qu'à réorganiser la résistance comme dans le temps.


Nicolas

PS : J'avais abandonné ce blog, mais je commence à en avoir rad le bol de voir autant de connerie en si peu de temps. De plus je commence un peu plus de temps. Donc c'est possible ce blog reprenne du service. Donc avis aux amateurs d'opinions fortes, à ceux que les débats ne font pas fuirs et qui ont encore quelques choses à faire de leur vie, excepté se prendre des coups. Mais retenez que marchez ensemble, ça reste et restera toujours mettre un pied devant l'autre. C'est pas plus dur que ça la solidarité.

Publié dans We are Humans

par Nicolas

Jeudi 6 novembre 2008 à 13:53

Un prêtre sans sa soutane...
On en verra (peut-être) plus jamais.

Parce qu'on en voyait ? J'espère pour vous que non, parce que le sous-entendu ici est que ces prêtres sans soutane, abuse sexuellement de votre petit corps. Chose qu'on ne devrait plus avoir à supporter dans la rubrique des faits divers des JT.
Pourquoi tout simplement parce que l'Eglise, la vraie (vous savez Vatican, vieux débris et tout ça, un peu comme l'Assemblée National mais en plus...flasque) a annoncé qu'elle voulait faire passer, aux candidats à la prêtrise, un test psychologique. Ce test viserait à trois chose. La première que le candidat est prêt a assumer son voeux de chasteté. La deuxième est qu'il n'a pas des pulsions sexuelles qu'il n'arrive pas à contenir (ce qui vaut mieux pour respecter le premier point). Enfin que le candidat ne soit pas homosexuel profond.
Ce test psychologique est expliqué par l'Eglise comme étant une méthode de lutte contre les abus sexuel ou autres saloperie du même genre qui a salie l'institution religieuse depuis quelques année, en Europe, en Amérique et en Australie. Une des associations, la SNAP, bien qu'acceptant cette mesure, ne s'estime pas satisfait impliquant le problème fondamentale de l'église, soit le culture du silence et la puissance incontrôlée de la hiérarchie. En gros l'Eglise c'est un peu comme une grosse banlieu, une mafia, ou une secte, à votre goût.

Bon mais concentrons-nous sur ce test psychologique, le vraie coeur de cet article. Tout d'abord on peut se dire que cette ambition eclasiastique est très acceptable puisque visant à protéger des enfants par exemple. On peut-tout de même se demander comment ces tests psychologiques vont être pratiqués. A priori, ce serait des psychologues et psychiatres indépendants de l'Eglise qui devraient s'en chargé. Dommage, je m'imaginais bien torturer les pauvres prêtres en leur faisant défilé des bimbo en tenue légère sous le nez...
Là ou je tiques davantage c'est quand on lit que ce test ne sera pas obligatoire mais sur décision des recteurs de séminaires, au cas par cas. Donc pas trop de temps, tant pis, pas trop de sous, tant pis,... T'as une bonne tête, c'est bon... Toi, t'as une sale trogne, va voir le doc'... Pire ! Au final, le type ne peut pas être obligé par le recteur de passer ce test.
Donc en fait, un test sur papier davantage que réel et utile...

Nombreux d'entre vous, lâcherait avec dédain : "L'Eglise n'a cas autoriser les prêtres a prendre une compagne, comme les orthodoxes". Et je suis d'accord avec eux. Mais histoire de ne pas lâché ça comme ça, et un peu de culture ne fait pas de mal, cette histoire de voeux de chasteté est le symbole de la fidélité du prêtre envers son dieu. La privation pour Dieu.

Enfin cette histoire d'homosexualité profonde, ou plutôt bien ancré, c'est parce que selon Zenon Grocholewski, préfet de la Congrégation pour l'Education catholique, c'est "une déviance, une irrégularité et une plaie" empêchant le prêtre de mener à bien sa mission. Décidemment y a pas que le corps qui est flasque chez ces gens là...
 

Publié dans We are Humans

par Nicolas

Vendredi 5 septembre 2008 à 13:39


Mais quel combat menait vous là, Nazi français ? Là où tous les poètes et artistes, même ceux allant régulièrement à l'encontre de la pensée unique de la morale social, prônent toujours la tolérance et l'égalitarisme entre les hommes. Pourquoi luttez-vous donc contre des "gris", des "jaunes", des "nègres"... Pourquoi luttez vous, jeunesse Nazi, contre des couleurs plutôt que pour des principes clairs et précis, réfléchis ? Préfèreriez-vous un monde sans couleurs, juste en noir et blanc ? Ou bien le noir vous ferait-il trop peur ?
Des principes mais lesquels... Ceux par exemple dont vous vous sentez investi humblement quand vous essayez de vous mettre dans la tête, dans la vie, dans la situation de celui qui vous fais face. Ou quand vous essayez de vous mettre à la place de quelqu'un, n'importe qui, vivant une situation spéciale. Faites en sortes d'adopter les bons principes permettant d'aider le plus de monde. En l'occurence j'ai toujours tendance à pencher pour la paix, l'écoute de l'autre et la gentillesse.
Tels sont mes principes, des mots simples mais remplis de sens, clair et compréhensible par tous, accepté par tous, demandé par tous, quotidiennement. C'est pas dur de vivre pour des principes que chacun de nous à quelque part en soi. Suffit juste de trouver le chemin de son coeur et l'usage de sa main voir de son épaule.

Bien sûr, si souvent de tels discours sont répétés, si souvent dans le vide incommensurable de vos têtes vides d'idées. Mais on peut toujours espérer qu'en le répétant et le répétant on arrache quelques moutons à ce troupeau morbides. Parce que si vous avez appris à lire c'est aussi pour apprendre sur vous.

Nous sommes tous les étrangers de quelqu'un !





Publié dans We are Humans

par Nicolas

Lundi 7 juillet 2008 à 14:36

Si elle devait être une forêt ce serait celle de Colombie. Si elle devait être un groupe armée, ce serait les Farcs. Si elle devait être un acteur ce serait Sylvester Stallone. Si elle devait être un personnage de film ce serait évidemment Rambo au meilleur de sa forme.
J'ai beaucoup de mal à m'imaginer cette femme qui hier était prêté pour quasi morte, en tout cas malade et osseuse, tirant la gueule sur photographie, revenir sur le devant de la scène politico-médiatique aussi vite, "comme une fleur" comme dirait Jean-Michel Aphatie.
6 ans que cette sénatrice et candidate à la présidence était retenu par les Farcs, dans la forêt Colombienne. Rappellez-vous "forêt" ! C'est pas pareil que "camping". Comment une femme (ou un homme d'ailleurs), dans la condition d'otage, dans l'impuissance de décider de son avenir, dans l'ignorance de son sort futur, peut-elle descendre de l'avion qui la rammène de cette longue vie d'"esclave" (enchaînée à un arbre par le cou, nous dit-elle) dire deux mots à sa mère, puis accordée directement une interview. Pas 6 jours ni 6 mois ! 6 longues, longues années.
Et ce réflexe ? Quel est ce réflexe de passer seulement deux jours "avec" sa famille qu'elle n'a pas vu depuis 6 ans, tout ça avant de partir direction Paris, rendre une visite de courtoisie au couple Sarkozy, notamment Nicolas qui aurait bien aimé être pour quelque chose dans sa libération.

Prenez des otages, masculin si on veut, et qui ne sont restés que quelques mois en otages, en Irak ou en Afghanistan, ils en ressortent tous diminué moralement, à bout de nerf. Prenez Brice Fleutiaux qui est resté 8 mois en otage en Tchéchénie. Il a écrit Otage en Tchéchénie, que je vous conseil absolument de lire, avant de simplement se libérer, comme le dit le site officiel sur ce grand monsieur du journalisme photographique Français.
8 mois et demi ! Pas 6 ans.
Où est passé l'Ingrid Bétancourt qui était malade et émacié ? Où est passé la femme fatigué dont on redouté l'annonce de la mort ?

Je suis perplexe. Comment a-t-elle été libéré. Il paraît que ce serait grâce à Alvaro Uribe et ses forces armées qui auraient réussis à infiltrer les Farcs et libérer quelques otages. Pourquoi pas. Maintenant la question plus intéressante serait de savoir quel avenir existe pour la lutte contre les farcs, quel espoir il reste pour les otages toujours détenus...? Je veux dire maintenant que l'otage médiatique a été libéré. E-cowblog, que j'avais entretenu sur le sujet : "Selon ce que j'ai pu entendre, dans ce même discours, les autres otages ne sont pas oubliés (il reste un français, là-bas, je crois), et la lutte contre les Farcs continuent. Néanmoins, rien n'est moins sûr." Rien n'est moins sûr, effectivement.

Bref aujourd'hui malgré moi, je reste très perplexe sur cette fameuse libération. Je ne suis pas au point dire que sa détention fut une mise en scène, mais que sa subite libération laisse soit paraître un gros mentale d'acier chez la Franco-colombienne, soit une réaparition bien orchestré à base de papier cadeau et ruban, pour les médias sûrement davantage que pour le côté politique. Donc je ne suivrais pas l'élan populaire visant à être plein de joie à l'annonce de sa liberté... J'aime pas qu'on prenne pour un con.

Nicolas

Publié dans We are Humans

par Nicolas

Mardi 3 juin 2008 à 9:15

Il y a quelques temps, passait en jugement une histoire d'annulation de mariage. Rappelons tout d'abord que l'annulation ce n'est pas le divorce. L'annulation n'appelle pas même le divorce. Elle est possible après le mariage et si les conditions dans lequel le mariage a été réalisé sont... Sont quoi d'ailleurs ? Illégale, quand un l'un des conjoints est déjà marié... Contractuelle, quand un des conjoints est impuissant... Et alors quand l'un des conjoints n'est plus aussi vierge que ce que prévoit la « loi » divine ?

Cette dernière question est celle que s'est posé un tribunal en France, après la demande d'annulation de la part du mari. C'est une question difficile. Parce que d'un côté vous avez la vision religieuse du mariage qui dit que la femme doit toujours être vierge. En soit c'est une entrave à la liberté de la femme, parce qu'une telle restriction n'existe pas envers les hommes. Or si la virginité doit être un principe fondamentale pour la femme pourquoi pas pour l'homme.
Mais d'un point de vue religieux, il y a effectivement une atteinte de la part de la femme, donc une possibilité d'annulation.

D'un autre côté, il y a le mariage administratif. Dans ce cas le principe de virginité n'intervient plus, puisqu'il s'agit de loi sans connotations (normalement) religieuses. Dans ce cas, une telle demande d'annulation est rejetable.

Et la justice dans ce cadre...? La justice qui évolue normalement avec des lois laïques, qu'elle point de vue doit-elle adopter ? Parce que la laïcité c'est avant tout de ne favoriser aucune religion par rapport à une autre et à la fois permettre cette pratique religieuse.

Donc tout dépend du cadre du mariage. Religieux ou Civil... Au lieu de culte ou à la mairie... Pour un mariage religieux, les principes retenus doivent être les principes de la religions exercées, si et seulement si les deux mariés sont de la même confessions. Dans les autres cas, il ne faut privilégié aucune appartenance religieuse.

Mais bon, moins philosophiquement, je dirais que franchement les principes religieux sont vraiment spéciaux et qu'une fille vierge de nos jours... Toutes des (...) et moi le premier !


Nicolas

Publié dans We are Humans

par Nicolas

<< Page précédente | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | Page suivante >>

Créer un podcast