On en reparle encore de ces mères porteuses. Les mères porteuses sont des mères louant leur ventre à un couple pour faire leur bébé à leur place. Le tout contre rémunération. Un peu partout l'on s'exclame : "Oh non, le bébé porté par une mère doit être le sien", "c'est barbare", "avilissant pour la mère porteuse qui se trouve reléguer au statut d'objet, de couveuse" ... Un peut partout ailleurs on s'exclame "Mais si la mère ne peut pas avoir d'enfant pour des raisons de santés ou autres", "Des femmes seraient très heureuses d'aider des gens dans ce sens là"... Bref les idées s'entrechoquent et on va voir qu'on pourrait néanmoins trouver un terrain d'entente.
Il serait effectivement très tentant de permettre à une femme qui ne peut décidément pas avoir d'enfant de tout de même avoir le sien grâce au recours à la fécondation in vitro et à celui de la mère porteuse. Mais tout ça pose encore bien des soucis de moralité à une France encore peut-être un brin réactionnaire sur ce point. Alors voyons cela ensemble.
Que devient une femme, en quoi se transforme-t-elle en décidant d'être une mère porteuse ?
Elle se transforme en une femme qui va veiller et aider le développement de l'embryon, jusqu'à sa naissance. C'est un rôle lourd de responsabilité et qui occasionne quelques petits problèmes désagréables, liés à la grossesse. Peut-on aller jusqu'à dire que l'on rabaisse ces mères porteuses au rang d'objet du type couveuse ou autre ? Je pense que précisément non. S'il s'agissait d'un boulot de machine, on le donnerait à faire à une machine. Là il s'agit d'une relation de type humaine, d'une mère vers un bébé, même si ce bébé n'est pas le sien. Il est impossible de dire si une mère porteuse sera dans le futur, catégorié comme une personne à plaindre ou une personne admirable. Mais il y a des moyens permettant d'éviter qu'elle soit à plaindre.
Une grossesse au mois ?
Les mères porteuses telles qu'elles existent dans certains pays, louent leur ventre à des couples en mal d'enfant. Je vois mal la France autoriser la location de ventre, parce que, comme tout ce qui est don de sa personne (don d'organne, don du sang, ...), il est interdit de rémunérer ces choses là. Premièrement imaginer qu'au beau milieu de la grosses la famille louant le ventre décide de ne plus avoir d'argent. Le contrat est rompu, on fait quoi de l'enfant ? On ne peut plus avorter, on ne compte pas le garder et les parents sont des ingrats qui ne méritent peut-être pas leur enfant. On en fait quoi ? Secondement, cette question d'argent apporte beaucoup de craintes. Des femmes ne vont-elles pas louer leur ventre non pas par dévotion humaine mais pour payer leur loyer ? Même si la formule, qui n'est pas de moi, est mal tourné, dans le sens où elle est tout de même un peu exagéré, il y a des risques plus probable. Prenait ne serait-ce que les prostitués qui louent leur vagin en toute inégalité... D'un coup d'un seul elle pourrait louer leur ventre, pour peut-être une meilleur paye mensuel, ne plus être obligé de faire le trottoir et surtout exercer une activité rémunératrice légalement. C'est là que je vois un gros gros problème.
Partisan d'un compromis.
Quand on donne son sang, on donne de soit-même pour quelqu'un qui en a besoin. Ca nous fait plaisir, on est humain. Quand on est mère porteuse, le principe doit rester le même. On propose son ventre à quelqu'un qui en a besoin. C'est fait par plaisir d'aider. Et j'ai bien dit d'aider dans le besoin. Ne sont pas catégorié là-dedans les mères ne voulant pas d'enfants parce qu'elles ont peur de prendre du poids, ou bien que ça fasse mal. Il faut un réel besoin pour que tout ça reste humainement supportable. Il faut également que les futurs parents soient irréprochable. Je propose par exemple qu'il soit examiner au cas par cas avec les mêmes exigences que pour les adoptions d'enfants.
Quand on donne son sang, on est pas payé pour. Quand on est mère porteuse, on ne doit pas l'être non plus. L'acte doit rester humain et évidemment complétement désintéresser, sans quoi l'on court vers de grosses dérives. Vous allez me dire que pour l'effort fourni, les petits problèmes liés à la grossesse, la douleur de l'accouchement, le soin apporté au bébé,... Tout ça mérite salaire. Je vous répondrai que je ne suis pas de cet avis. Je vous dirai comme à celui qui refuse de donner son sang parce qu'il aime pas les piqures ou bien parce qu'après on risque des évanouissements,... Des petits désagréments pour un bonheur final intense. Surtout qu'en plus, le fait de porter un bébé est généralement vu par la gente féminine comme quelques chose de beau et de souhaité.
Quand on donne son sang, il y a quelques règles à suivre. Ne pas être malade ou vivre insalubrement, la mère porteuse non plus. Ne pas avoir été prélevé depuis un certain temps., la mère porteuse non plus. Je crois qu'il y a un quotas à respecter dans l'année, pour la mère porteuse se sera difficile d'imposer des règles sur un an, mais sur 3, 4 ou 5 ans c'est plus intéressant.
Quant au droits de la mère porteuse sur l'enfant.
Les mères porteuses actuelles n'ont pas le droit de revenir en arrière ou bien de se désister. La question ne se pose pas quand c'est un travail rémunéré. Mais si on suit notre logique, le travail n'est plus rémunéré et la question se pose. D'un côté, vous avez une mère porteuse qui va porter, couver et forcément avoir un peu d'affection pour cet enfant. Et le jour de l'accouchement, décider bêtement et très humainement qu'elle aimerait garder cet enfant. D'un autre côté vous avez la mère et le père biologique qui ont payés pour la fécondation in vitro et qui se réclament biologiquement les parents de l'enfant. Et effectivement il est étrange de considérer le fait que la mère porteuse pourrait garder l'enfant, sachant que biologiquement, c'est un corps plus étranger qu'autre chose.
Mais par exemple, les femmes souhaitant faire adopter leur propre enfant. Elles ont un droit de rétractation jusqu'à ce que le contrat soit signé. C'est à dire obligatoirement après la naissance de l'enfant. Mais là encore le prolème est biologique. La mère porteuse n'a pas d'autorité biologique sur l'enfant qu'elle porte. Mais peut-on dire qu'elle n'a rien fait pour cet enfant ? Si le parents biologiques n'avaient pas donné cet ovule fécondé à la mère porteuse il n'y aurait pas eu d'enfant. Dans le même temps, si la mère porteuse n'avait pas porté l'enfant en elle, il n'y aurait pas eu d'enfant non plus. La question est-donc de savoir ce qui prévaut, le côté biologique ou bien le côté humain.
Personnellement j'ai toujours pensé qu'il fallait écarter les données scientifiques des débats qui reste bassement humain. Un couple veut un enfant, fait tout pour l'avoir, grâce à une mère porteuse. Finalement la mère porteuse décide de le garder. Comprenez la cruelle désillusion du couple qui espérait de cet enfant. D'un autre côté, vous avez une mère porteuse déchirer de devoir se séparer d'un enfant auquel elle a en grande partie donnée la vie et avec lequel elle a vécu pendant neuf longs mois. On peut comprendre qu'elle y soit attacher et qu'elle ne veuille plus s'en défaire. Le débat reste bel et bien à caractère humain. Mais il est impossible de se décider en faveur d'un sentiment plus noble que l'autre.
Si j'avais à préconiser quelque chose, ce serait de laisser la possibilité à la mère porteuse garder l'enfant qu'elle a fait naître. Mais cette décision serait également soumise à des contrôles permettant de vérifier si la mère porteuse est apte à élever et s'occuper de l'enfant, aussi bien psychologiquement que matériellement parlant. Dans le cas contraire, elle sera privé de l'enfant. Ces contrôles doivent être lourd pour la mère porteuse, ils agiront comme élément dissuasif et permettront de valider la détermination de la mère porteuse à garder son enfant.
Voilà mon idée de ce concept de la mère porteuse tel qu'il pourrait être voté à l'assemblée nationale. J'ai essayé d'y mettre de l'objectivité et de l'intelligence. ais bon, vous aurez peut-être quelques choses à redire.
Nicolas
Il serait effectivement très tentant de permettre à une femme qui ne peut décidément pas avoir d'enfant de tout de même avoir le sien grâce au recours à la fécondation in vitro et à celui de la mère porteuse. Mais tout ça pose encore bien des soucis de moralité à une France encore peut-être un brin réactionnaire sur ce point. Alors voyons cela ensemble.
Que devient une femme, en quoi se transforme-t-elle en décidant d'être une mère porteuse ?
Elle se transforme en une femme qui va veiller et aider le développement de l'embryon, jusqu'à sa naissance. C'est un rôle lourd de responsabilité et qui occasionne quelques petits problèmes désagréables, liés à la grossesse. Peut-on aller jusqu'à dire que l'on rabaisse ces mères porteuses au rang d'objet du type couveuse ou autre ? Je pense que précisément non. S'il s'agissait d'un boulot de machine, on le donnerait à faire à une machine. Là il s'agit d'une relation de type humaine, d'une mère vers un bébé, même si ce bébé n'est pas le sien. Il est impossible de dire si une mère porteuse sera dans le futur, catégorié comme une personne à plaindre ou une personne admirable. Mais il y a des moyens permettant d'éviter qu'elle soit à plaindre.
Une grossesse au mois ?
Les mères porteuses telles qu'elles existent dans certains pays, louent leur ventre à des couples en mal d'enfant. Je vois mal la France autoriser la location de ventre, parce que, comme tout ce qui est don de sa personne (don d'organne, don du sang, ...), il est interdit de rémunérer ces choses là. Premièrement imaginer qu'au beau milieu de la grosses la famille louant le ventre décide de ne plus avoir d'argent. Le contrat est rompu, on fait quoi de l'enfant ? On ne peut plus avorter, on ne compte pas le garder et les parents sont des ingrats qui ne méritent peut-être pas leur enfant. On en fait quoi ? Secondement, cette question d'argent apporte beaucoup de craintes. Des femmes ne vont-elles pas louer leur ventre non pas par dévotion humaine mais pour payer leur loyer ? Même si la formule, qui n'est pas de moi, est mal tourné, dans le sens où elle est tout de même un peu exagéré, il y a des risques plus probable. Prenait ne serait-ce que les prostitués qui louent leur vagin en toute inégalité... D'un coup d'un seul elle pourrait louer leur ventre, pour peut-être une meilleur paye mensuel, ne plus être obligé de faire le trottoir et surtout exercer une activité rémunératrice légalement. C'est là que je vois un gros gros problème.
Partisan d'un compromis.
Quand on donne son sang, on donne de soit-même pour quelqu'un qui en a besoin. Ca nous fait plaisir, on est humain. Quand on est mère porteuse, le principe doit rester le même. On propose son ventre à quelqu'un qui en a besoin. C'est fait par plaisir d'aider. Et j'ai bien dit d'aider dans le besoin. Ne sont pas catégorié là-dedans les mères ne voulant pas d'enfants parce qu'elles ont peur de prendre du poids, ou bien que ça fasse mal. Il faut un réel besoin pour que tout ça reste humainement supportable. Il faut également que les futurs parents soient irréprochable. Je propose par exemple qu'il soit examiner au cas par cas avec les mêmes exigences que pour les adoptions d'enfants.
Quand on donne son sang, on est pas payé pour. Quand on est mère porteuse, on ne doit pas l'être non plus. L'acte doit rester humain et évidemment complétement désintéresser, sans quoi l'on court vers de grosses dérives. Vous allez me dire que pour l'effort fourni, les petits problèmes liés à la grossesse, la douleur de l'accouchement, le soin apporté au bébé,... Tout ça mérite salaire. Je vous répondrai que je ne suis pas de cet avis. Je vous dirai comme à celui qui refuse de donner son sang parce qu'il aime pas les piqures ou bien parce qu'après on risque des évanouissements,... Des petits désagréments pour un bonheur final intense. Surtout qu'en plus, le fait de porter un bébé est généralement vu par la gente féminine comme quelques chose de beau et de souhaité.
Quand on donne son sang, il y a quelques règles à suivre. Ne pas être malade ou vivre insalubrement, la mère porteuse non plus. Ne pas avoir été prélevé depuis un certain temps., la mère porteuse non plus. Je crois qu'il y a un quotas à respecter dans l'année, pour la mère porteuse se sera difficile d'imposer des règles sur un an, mais sur 3, 4 ou 5 ans c'est plus intéressant.
Quant au droits de la mère porteuse sur l'enfant.
Les mères porteuses actuelles n'ont pas le droit de revenir en arrière ou bien de se désister. La question ne se pose pas quand c'est un travail rémunéré. Mais si on suit notre logique, le travail n'est plus rémunéré et la question se pose. D'un côté, vous avez une mère porteuse qui va porter, couver et forcément avoir un peu d'affection pour cet enfant. Et le jour de l'accouchement, décider bêtement et très humainement qu'elle aimerait garder cet enfant. D'un autre côté vous avez la mère et le père biologique qui ont payés pour la fécondation in vitro et qui se réclament biologiquement les parents de l'enfant. Et effectivement il est étrange de considérer le fait que la mère porteuse pourrait garder l'enfant, sachant que biologiquement, c'est un corps plus étranger qu'autre chose.
Mais par exemple, les femmes souhaitant faire adopter leur propre enfant. Elles ont un droit de rétractation jusqu'à ce que le contrat soit signé. C'est à dire obligatoirement après la naissance de l'enfant. Mais là encore le prolème est biologique. La mère porteuse n'a pas d'autorité biologique sur l'enfant qu'elle porte. Mais peut-on dire qu'elle n'a rien fait pour cet enfant ? Si le parents biologiques n'avaient pas donné cet ovule fécondé à la mère porteuse il n'y aurait pas eu d'enfant. Dans le même temps, si la mère porteuse n'avait pas porté l'enfant en elle, il n'y aurait pas eu d'enfant non plus. La question est-donc de savoir ce qui prévaut, le côté biologique ou bien le côté humain.
Personnellement j'ai toujours pensé qu'il fallait écarter les données scientifiques des débats qui reste bassement humain. Un couple veut un enfant, fait tout pour l'avoir, grâce à une mère porteuse. Finalement la mère porteuse décide de le garder. Comprenez la cruelle désillusion du couple qui espérait de cet enfant. D'un autre côté, vous avez une mère porteuse déchirer de devoir se séparer d'un enfant auquel elle a en grande partie donnée la vie et avec lequel elle a vécu pendant neuf longs mois. On peut comprendre qu'elle y soit attacher et qu'elle ne veuille plus s'en défaire. Le débat reste bel et bien à caractère humain. Mais il est impossible de se décider en faveur d'un sentiment plus noble que l'autre.
Si j'avais à préconiser quelque chose, ce serait de laisser la possibilité à la mère porteuse garder l'enfant qu'elle a fait naître. Mais cette décision serait également soumise à des contrôles permettant de vérifier si la mère porteuse est apte à élever et s'occuper de l'enfant, aussi bien psychologiquement que matériellement parlant. Dans le cas contraire, elle sera privé de l'enfant. Ces contrôles doivent être lourd pour la mère porteuse, ils agiront comme élément dissuasif et permettront de valider la détermination de la mère porteuse à garder son enfant.
Voilà mon idée de ce concept de la mère porteuse tel qu'il pourrait être voté à l'assemblée nationale. J'ai essayé d'y mettre de l'objectivité et de l'intelligence. ais bon, vous aurez peut-être quelques choses à redire.
Nicolas