On dirait que les relations franco-allemandes sont tendus ces jours ci. Bon on dirait pas comme ça mais y a des trucs louches entre Angela Merkel, chancelière allemande, et Nicolas Sarkozy, notre bon vieux président.Tiens regardez, il y a quelque temps, Nicolas Sarkozy et son homologue allemande avait fixé un rendez-vous. Ce rendez-vous a été annulé ! Pour quel raison ? Incompatibilité d'emplois du temps. Ca peut arriver.
Plus troublant, récemment, un ministre français avait un rendez-vous avec son homologue ministre d'outre-Rhin. Encore une fois le rendez-vous a été annulé. Motif ? Incompatibilité d'agenda. Pour le coup, ils auraient une excuse bidon du style "Mon réveil a pas sonné" ça aurait paru plus crédible.
Ceci-dit, on peut facilement imaginer le troisième rendez-vous. "Heu non, j'peux pas venir problème de... heu... de cahier de texte...".
Mais plus inquiétant est le fait que nous éloignons de plus en plus de l'Allemagne, depuis que Sarkozy est le plus petit des grands Français. N'empêche que le bon président français fait parler de plus en plus de son histoire de Shoah à l'école primaire. N'empêche que distance avec l'allemagne plus Shoah, plus rapprochement avec l'Amérique, ça vous rappelle rien ?Moi ça me rappelle le débarquement Américain pour bouter le joug allemand hors de France, au moment où les éxécuteurs de la Shoah battait encore des rangers dans les camps de concentrations.
Bon on en est peut-être pas encore à la troisième guerre mondiale. Mais on se rapproche évidemment de différents politiques avec l'Allemagne.
Rien à dire de plus, si ce n'est que malheureusement et contrairement aux idées reçues, l'amalgame entre Nazis et allemands est encore trop présent de nos jours. Il ne faudrait pas oublier que les responsables (du moins ceux qu'ont a débusqué ont été jugé à Nuremberg, même si cette faible consolation ne parvient pas à compenser l mal qui a été fait) ont été traqué, et punis dans la mesure du possible, et que le jeune peuple allemand et ses ressortissants n'ont pas à subir le poids de la culpabilité d'une époque qui n'est ni la leur, ni la nôtre. N'oublions pas qu'à cette époque, les français criaient vive Pétain et chantaient maréchal nous voilà. S'il ne faut pas oublier, il ne faut pas omettre non plus qu'il s'agit ajustement du passé.
NB : Les militaire allemands ne portaient pas de rangers mais des bottes sans laçage dont j'ignore le nom :)