le-brouillon

MERCI
ras le bol moi aussi...

moi je l'aime pas trom mais il a bien fait d'utiliser le mot karsher je trouve il a bien fait la racaille il faut la karsherer ^^ c'est pas eux qui font la loi ^^

Mais si c'est un nouveau mot, c'est de la grammaire post-moderne :D

Pour information, on dit "Nazi" et pas "Naziste". Sans blague :D

Cet article est toujours d'actualité aujourd'hui avec ce débat sur l'identité national !
N'est t'il pas dangereux en pleine crise économique de soulever ce débat ?
Tous les ingrédients sont présents pour que l'Histoire se répète !
Minorités ! Quittez la france avant qu'on vous déporte parce que pas assez français !

Voici mon témoignage prouvant que la France de Chirac suivie de celle de Sarkosy est un pays fasciste. N.B. J'ai changé mon nom par N. En effet, je ne voudrais pas subir de représailles du fait que je dénonce dans mon témoignage les pratiques fascistes de la gendarmerie. Mon témoignage n'est pas un pamphlet. Je décris exactement ce qui m'est arrivé, qui est parfaitement contraire, cela sans ambiguïté aux droits de l'homme et à un pays civilisé.

Monsieur,




Je vous transmets un rapport journalistique confirmant la position de Reporters sans frontières sur la France et sur le contrôle hors loi de la liberté de pensée (pas de tolérance et de séparation des pouvoirs : l'Etat est une véritable enclume qui empêche les universitaires d'effectuer leurs travaux scientifiques dans des conditions normales par exemple). En effet je reçois des menaces de mort tous les jours, d'une extrême grossièreté qui émanent directement du bureau du procureur Jean-Claude Clément à Nevers du fait que j'effectue une enquête contrainte et forcée sur l'abscence de la liberté de la presse en France (enquête corrosive en pièce jointe), et cela a complètement remis en cause mon emploi du temps en cours d'année sur des études de physique appliquée universitaires, alors que j'avais déjà trois mentions Très Bien dans les autres matières technologiques, et réalisé de nombreux devoirs dans d'autres cours pendant l'année, avec une assiduité étonnante. Au lieu d'être augmenté malgré ces nombreux efforts universitaires l'Etat m'a supprimé 150 euros, alors que j'étais déjà en-dessous du seuil de pauvreté. J'ai donc cessé mes activités scientifiques pour l'instant en attendant qu'un autre gouvernement accorde plus d'intérêt aux matières scientifiques. Il me semble
qu'il y a un surpoids et un surpaiement des gens issus du droit du fait qu'ils sont directement axés sur des enjeux de pouvoir et qu'ils détiennent des postes clefs en haute instance, mais cela aboutit à une dérégulation des normes d'organisation des sources vitales de la productivité de notre Société, ce qui explique pourquoi l'effrayant républicanisme de Nicolas Sarkosy lui a valu la pire des chutes de popularité qu'a connu un homme politique depuis des décennies. J'ai pu constater que le gouvernement de Nicolas Sarkosy qui n'a pas la faveur de l'opinion publique est en dehors de tout contrôle éthique. Chaque mois son gouvernement touche des salaires faramineux, part au septième ciel et impose aux français un mode de contrôle psychologique qui a détourné les énergies spirituelles aux fins de son usage machiavélique de la Raison d'Etat, en mésestimant royalement les résistances subies par le corps des citoyens ayant des ressources financières bien plus faibles. Bref, le procureur Jean-Claude Clément, au nom de cette Raison d'Etat agit comme une hyène qui veut dévorer sa victime, même s'il s'agit d'une éminence grise en matière de mathématiques, alors que le procureur est visiblement complètement inculte en cette matière, bref un individu borné qui se base
sur des normes d'Ancien-Régime, sans tenir compte des avancées technologiques, et en risquant
de transformer en poudrière la maintenance des centrales nucléaires par exemple, les événements
dans le sud de la France l'ont prouvé. Il est impossible pour un mathématicien de se concentrer correctement du fait que ces juristes inutilement formés dans une mauvaise direction passent leur temps avec leurs manigances archaïques à détourner des schémas techniques extrêmement complexes pour le compte de leur scientologie qui frise la démagogie de l'utilité du Ridicule poussée à sa plus haute "utilité", comme celle de l'emploi du temps des plus scabreux que cherche à m'imposer M. Clément, dont on connaît les origines militaires et qui a fait table-rase de l'organisation civique, celle du droit tolérant issu des idées de séparation des pouvoirs de Montesquieu, Locke et Rousseau, et qui permettait à l'université de droit de collaborer avec des scientifiques, avant cette table-rase insipide basée sur l'ignorance des mathématiques, puisque les étudiants de mathématiques sont depuis peu interdits d'accès à la bibliothèque universitaire de droit qui était habituellement une plaque tournante et un vivier en matière scientifique et de droit. Ne faudrait-il pas raser le tribunal, n'hésitons pas à le dire, de ce mégalomaniaque qui pense que le droit aveugle sans aucune relation avec l'extérieur a une finalité propre et un décisionnel indépendant des autres sources de valeur. C'est exactement de cette manière que procède Nicolas Sarkosy. Il rase des tissus de relations publiques, des viviers de connaissance, des réseaux qui étaient en train de faire émerger des innovations, pour le compte d'élucubrations de pouvoirs n'ayant aucun rapport avec les valeurs extérieures au grotesque aveuglement de soumissions à des systèmes de répression archaïques qui prennent à leur avantage les idées locales pour le compte d'idées nationalistes aveugles, irréalistes, et qui nient le droit de la personne et de l'expression de la presse. Le jour où nous nous prendrons une météorite dans la figure nous pourrons remercier M. Sarkosy, M. Clément et leur cordon de psychiatrie surfinancé.

Ci-dessous mon rapport sulfureux

Bonjour monsieur,



N.B. Vous trouverez en annexe 3 le détail d'une autre affaire, "l'affaire Lucia" qui a été complètement falsifiée par les procédés de contrefaçons "judiciaires" qui sont en exercice en France. J'avais transmis le courriel joint en fichier attaché à plusieurs associations de droits de l'homme. Or, j'ai reçu de nouvelles menaces de mort par téléphone ce matin, cette fois du sous-brigadier Renaud de la Police de Nevers en France. Je vous cite ses propos injurieux et vulgaires, mot pour mot : "si tu continues tes reportages sur la Justice de France, espèce de petit journaliste de merde, je te défonce la gueule à coups de pioche". Je ne sais pas pourquoi le sous-brigadier Renaud s'énerve de cette manière par téléphone, je ne cherche qu'à faire valoir mes droits en faisant part aux médias de la nécessité d'une rénovation des structures de la Justice et de ses dysfonctionnements en France. Je suis témoin oculaire de ces dysfonctionnements. En 1998 j'ai reçu la visite répétitive de la fille d'un avocat, Lina Garçon (pour tout dire qui n'était pas loin d'être du harcèlement) ; elle effectuait un travail de VRP pour une Société d'édition, la Société des Ecrivains. Etant dans la même classe qu'elle à l'université (licence de philosophie troisième année), j'ai accepté qu'elle
vienne m'expliquer en quoi consistait ce travail de rédaction d'ouvrage(s), mais ses visites impromptues commençaient à devenir envahissantes. J'ai fini par accepter une entrevue avec le gestionnaire M. Brancq qui m'a immédiatement proposé un contrat d'édition pour l'édition d'un ouvrage que j'avais déjà rédigé. Ce contrat stipulait noir sur blanc que je devais toucher 10000 euros par l'édition de cet ouvrage. J'ai donc accepté. Mais il fallait que j'aille voir ma banque pour avancer les frais d'édition (environ 2300 euros). Le banquier a accepté et l'éditeur m'a finalement transmis 20 ouvrages. Précisons que j'avais transmis l'ouvrage une première fois au format Word, et que l'éditeur m'a demandé de le refaire au format Works, ce qui a demandé un temps faramineux, les deux formats étant incompatibles, et ce qui a causé quelques fautes d'orthographe qui n'apparaissaient pas dans la première mouture sous Word. Je suppose que Melle Garçon touchait une commission liée à ses démarches de VRP. Or, au bout d'un an la proposition de l'éditeur s'est avérée complètement contraire à ce qui s'est passé en réalité. Je n'ai perçu qu'une somme modeste inférieure à 50 euros en tout et pour tout depuis l'édition de l'ouvrage (donc très loin des 10000 euros annoncés par M. Brancq). Je qualifierais donc ce contrat d'édition d'une véritable escroquerie. J'ai reçu la visite des huissiers et il me fallait rembourser immédiatement les frais d'édition de 2300 euros, somme que je n'avais pas en ma possession. J'ai constaté qu'en mon abscence on avait fouillé dans mes papiers bancaires, ouvert de manière frauduleuse un recommandé avec A/R me permettant de protéger une oeuvre de musique pour la SACEM, et le double de mon contrat d'édition de la Société des Ecrivains avait disparu ! J'ai été la victime de vol à la tire de ma carte bleue par un certain Julien Decours lors d'une présentation marketing pour une activité commerciale de V.D.I. à mon domicile. Et les sommes qu'il m'avait volées m'avaient été remboursées. Mais je l'ai croisé peu après dans la rue, et une autre personne de la bande de Decours m'a tout bonnement tabassé dans la rue. On m'avait volé une bonne partie de mon stock de cosmétiques alors que je m'étais absenté une demi-heure comptant sur la vigilence de mon colocataire M. Soriba. Et trois malfaiteurs de la bande de Decours avaient subtilisé une deuxième fois ma carte bleue. Je les ai menacé de plainte à la police. Ils m'on rendu la carte qu'ils avaient effectivement volée, et j'ai compris par la suite qu'ils avaient utilisé le numéro de ma carte bleue pour effectuer des achats sur Internet. Je ne pouvais rester dans l'appartement ayant peur d'avoir de nouveaux problèmes, et j'ai laissé l'appartement à M. Soriba en transmettant mon préavis à la logeuse et en lui laissant les clefs. Je suis allé quelques jours à Paris et (loi des séries ?) je me suis fait accoster par des faux contrôleurs de la RATP. En effet, je souhaitais rentrer en Province, aussi je proposais à quelqu'un dans le métro d'origine arabe, évidemment sans aucune obligation, de racheter à moindre prix un ticket de métro dont je n'avais plus l'utilité. Celui-ci est immédiatement monté sur ses grands chevaux en m'insultant, prétextant être un agent de la RATP, et que je n'avais pas le droit des vendre des tickets dans le métro. Il en a profité pour m'emmener dans un coin du métro avec trois autres malfaiteurs. Ils en ont profité pour prendre mon portefeuille qui contenait 650 euros en liquide et ma carte bleue qu'ils m'ont restituée après avoir probablement noté le numéro de ma carte. Ils n'ont par ailleurs pas voulu me restituer les 650 euros prétextant une donation de ma part à un orphelinat, donation bien contrainte et forcée sous la menace de mort. En effet j'ai constaté par la suite un découvert effarant sur mon compte du Crédit Agricole (carte bleue à débit différé), dû à des achats que je n'ai jamais effectués moi-même. Complètement abasourdi par ces histoires, je suis allé me réfugier chez mes parents, et là l'enfer a continué. J'ai reçu la visite de l'huissier pour le découvert. Mon père a précisé à l'huissier qu'il s'agissait de "Decours et sa bande". Mais en 2003 j'ai eu la visite du gendarme Martin de Guérigny pour l'achat d'un ordinateur que je n'avais pas effectué moi-même, que je n'avais d'ailleurs jamais reçu ni eu en ma possession. Je lui ai précisé que cet achat ne me concernait pas. Et Martin a commencé à m'insulter avec des propos extrêmement grossiers en me menaçant de mort. Il a réussi à faire vider mon appartement, notamment en faisant main basse sur le vélo de course professionnel de mon père coté quelques milliers d'euros, grâce à des pressions que je qualifierais de fascistes. Je reste encore à ce jour abasourdi par les pratiques "judiciaires" en exercice dans la Nièvre, dont les menaces de mort de ce matin, injurieuses et vulgaires du sous-brigadier Renaud, précisant qu'il avait le concours de la répression des fraudes de Nevers pour agir de la sorte. Je ne vois pas à quelle fraude que ce soit je suis mêlé après avoir effectué des études universitaires, publié un livre et composé de la musique. S'il y avait fraude à mettre en exergue pourquoi est-ce que cela doit être effectué sous cette forme grossière, grégaire, basée sur des lois de violence au lieu que par la diplomatie, la tempérance et le mutuel accord. La police belge ne devrait-elle pas se saisir des biens personnels au domicile du personnel de la répression des fraudes qui use et abuse d'informations mensongères concernant des victimes de vol, pour des raisons qu'il reste à déterminer. Les actions arbitraires de Renaud ne datent pas d'hier puisque par des menaces diverses il a forcé moi et ma famille à rembourser le prêt pour l'édition du livre. Or le coût de celui-ci est passé de 2300 euros à 5000 euros avec les frais de justice. Lors du divorce de mon frère Renaud s'est emparé arbitrairement de sa maison avec l'aide d'un avocat, maison dont il avait effectué tous les travaux (menuiserie, plomberie...). Mon frère a tenté de se suicider par la suite avec des somnifères, et il n'a survécu que par miracle avec une intervention in extremis de mon père et un lavage d'estomac à l'hôpital. Je dois bien admettre que moi et ma famille servons de serpillière aux contrefaçons judiciaires de M. Renaud et M. Martin, probablement plus séduits par les conceptions des voleurs que par celle de gens honnêtes ayant suivi des études universitaires. Vous avez encore un exemple
de ces contrefaçons avec l'empoisonnement aux psychotropes dont j'ai été la victime (pièce-jointe en fichier attaché), de ces séductions effroyables de recourir à l'état de guerre. N'y aurait-il pas moyen d'effectuer une saisie sur les biens personnels du sous-brigadier Renaud et du gendarme Martin à leur domicile, par le biais de la police belge, afin que me soient restitués ces extorsions fascistes depuis 1999 à moi et ma famille, extorsions au bas mot qui se portent à hauteur de 48000 euros, ce qui a par ailleurs gelé mes activités universitaires et poussé à ne percevoir qu'une misérable pension d'invalidité à la suite de l'empoisonnement explicité dans la pièce jointe. Il est possible que je perçoive les frais de justice belges selon la modalité qui est explicitée sur mon blog Internet [...]

Cordialement,

N.

N.B. Je vous transmets ci-dessous la pièce jointe (courriels aux associations en charge des droits de l'homme).
"Monsieur,



J'ai transmis en substance le courrier suivant (dont je n'ai pas le double complet, puisque j'ai rédigé directement la première partie de celui-ci au Procureur), courrier rapportant une action qui
se déroule à Nevers et alentours en France. J'expliquais pourquoi en dépit de l'obtention de titres universitaires j'ai été pris dans une intrigue psychiatrique à la demande d'un médecin qu'avait appelé ma mère, lors d'une invitation (j'avais donc la possibilité de dormir ailleurs puisque j'étais parfaitement indépendant). Or, je ne sais pas ce qu'elle a raconté au médecin. Mes parents ont fait
venir des infirmiers du CHS de la Charité s/Loire à la demande du médecin. Je ne comprends pas ce qui s'est passé. Je n'ai jamais fait preuve d'agressivité à l'égard d'autrui, ni commis de délits. Ne comprenant pas exactement la situation j'ai suivi les infirmiers qui m'ont demandé si je voulais vraiment venir. Pensant qu'il s'agissait d'une simple discussion de courtoisie avec un psychologue pour comprendre les raisons de la subite incompréhension de mes parents, probablement avec mon mode de pensée ou d'expression puisque je n'avais pas eu me semble-t-il de désaccord flagrant avec eux. Je pense a priori que mes parents ont été l'objet d'une intrigue judiciaire par un tiers se faisant passer pour moi, et ayant pour but de les mettre en opposition avec moi-même. Or le Dr Kwaku Johnson et son infirmière à cet hôpital ont commis à mon égard un empoisonnement extrêmement violent en utilisant un pychotrope extrêmement dangereux. Je ne comprends pas leur attitude, j'avais obtenu des titres universitaires, appris le solfège dans des écoles de musique et au conservatoire, ainsi que la guitare depuis l'enfance, puis le piano, le violon et le chant. J'ai déposé à l'heure actuelle 180 partitions sur ce blog [...], et j'ai environ écrit 2 rayons de bibliothèque de musique. Je suis toujours très actif au point de vue universitaire, avec plusieurs classeurs d'évaluations réalisés dans des organismes à distance, avec
notamment une triple mention Très Bien dans trois matières en BTS informatique industrielle cette année, une licence 3è année de musique et une licence troisième année de philosophie. Je suis soit des cours universitaires ou je participe à des concours de musique pour rester ancré dans les systèmes d'évaluation de l'Etat. Je ne vois pas ce que je peux faire de plus. Passons ces événements qui ont fait suite à l'empoisonnement dont j'ai été la victime au début de l'année 2002, empoisonnement prémédité par le Dr Johnson et son infirmière. Le problème avec cet empoisonnement c'est qu'il s'agit d'un poison paralysant qui rend fou, qui fait avoir un comportement excentrique ou bizarre. Ce n'est qu'en 2007 que j'ai réussi à trouver un antidote, et que je suis sorti de mon état de demi-conscience. Cependant dans ce laps de temps de 5 années, je me suis fait beaucoup d'ennemis parmi des gens qui ne comprenaient pas mon attitude bizarre qui était causée à 100% par l'ingestion du poison concocté par M. Johnson et son infirmière. Je me suis retrouvé plusieurs fois en garde à vue, alors que je n'ai jamais eu de problème de cette nature avant l'ingestion de ce poison. J'ai donc voulu en faire part par courrier au Procureur, estimant mon droit de citoyen complètement floué par l'attitude du Dr Johnson, alors que je suis philosophe, musicien
et parfaitement non violent et cultivé, ayant publié un ouvrage de littérature et fréquenté de bonnes
familles. D'autre part je subis de multiples séquelles de l'empoisonnement, de multiples fractures, tendons et nerfs arrachés au niveau du cou. Les séquelles sont a priori irréversibles puisqu'il s'agit
de fibres nerveuses qui relient la moelle épinière au cerveau. Cependant j'ai reçu deux appels téléphoniques consécutifs ce soir au sujet de mon courrier. Il s'agissait du gendarme Delage de la Charité s/Loire. Je me contente de vous rapporter les propos injurieux qu'il a tenu par téléphone : "on va te broyer les couilles si tu continues à diffuser ces informations en Europe", et il a raccroché. J'ai ensuite reçu un autre coup de téléphone du gendarme Martin de Guérigny : "Si tu continues à contacter le Procureur, je te promets qu'on va venir te refaire le portrait". Je connais effectivement ces individus qui m'ont insulté et menacé à plusieurs reprises à mon domicile, pour ne pas dire menacé de mort et torturé. Je suis extrêmement choqué par les propos tenus par ces deux agents ; j'essayai de me départir auprès du Procureur pour faire valoir mes droits suite à cette affaire d'empoisonnement qui est la cause de tous mes ennuis, et je me sens extrêmement éloigné du vocabulaire employé par les gendarmes Delage et Martin, ainsi que par leur tournure d'esprit. Je suis traumatisé et tétanisé et j'ai appelé un médecin qui a constaté une dangereuse surtension artérielle équivalente à celle d'un vieillard. Je me demande s'il ne serait tout de même pas possible de mettre le droit français en rapport avec les normes européennes en matière de respect des droits de l'homme, et de la possibilité de faire jouer les contre-pouvoirs par voie de presse pour que l'angle de perception judiciaire en France ne soit plus seulement l'apanage de l'Etat (militaires) mais puisse être en rapport avec les circuits civiques basés sur la reconnaissance de la valeur de l'éducation scolaire, en matière de communication de faits judiciaires, et de condamnations réellement disproportionnées suite à des litiges dont on ne connaît même pas la source. Il est par ailleurs extrêmement difficile de réaliser des travaux universitaires à mon domicile avec ces mauvaises vibrations venant de l'extérieur qui émanent de gens pour qui le travail scolaire ou universitaire n'est pas la finalité principale, loin s'en faut. Je ne peux donc en réalité même plus travailler chez moi dans des conditions où l'esprit ne doit pas être heurté sans arrêt par des agressions psychologiques réellement de mauvais aloi. Je pense qu'il serait plus utile pour la société que les gens se mettent à niveau en matière scolaire au lieu de proférer de telles insultes. Réellement, je me sens extrêmement étranger en tant que "citoyen" français, à ce mode de participation. N.B. J'ai également réalisé un site Internet à vocation scolaire (dictées musicales en ligne...) Voici l'adresse : [...]

Peut-être pourrais-je travailler pour relier ces phénomènes d'autorité excessive qui se produisent en France, et qui empêchent les modes de pensée culturels, scolaires et universitaires de s'exprimer.
N.B. Je pratique la langue anglaise, allemande et russe en plus du français.


Cordialement,
N."

ANNEXE 3, l'affaire Lucia
Je dois dire que même paralysé par un poison et ayant eu un comportement bizzare à cause de cet empoisonnement (pose d'affiches saugrenues et délirantes dans la rue, usage de pamphlets idiots ou de mots laissés sur ou dans des boîtes aux lettres, départ inopiné de mon lieu de travail, incapacité de communiquer correctement etc...), mon attitude durant cette période, causée par l'empoisonnement, n'a rien à voir avec les menaces meurtrières que j'ai encore reçues aujourd'hui du gendarme Martin par téléphone : "Si tu continues à diffuser ces informations je te grille la cervelle comme celle de Bérégovoy, ou je te découpe en petits morceaux, ça ne serait pas la première fois que j'égorge un mec.". C'est donc en état de choc que je me précipite au café pour rédiger d'autres événements abracadabrants qui me sont arrivés à Perros-Guirec où je me suis encore retrouvé écrasé par un tissu de mensonges et de menaces. A la suite du décès de mon grand-père, épreuve douloureuse, mes parents sont allés retenir pour moi un appartement à Perros-Guirec. Je commence à m'installer et là tout va bien, mais je ne savais pas qu'il y avait en dessous une grand-mère qui perdait la tête. Je me suis très vite rendu compte d'ondes sonores désagréables qui émanaient du dessous, dès la première semaine, et cela était intenable : ça durait toutes les nuits et cela m'empêchait de dormir correctement. En réalité le premier mois de tapage de ma voisine j'étais obligé de faire nuit blanche (d'attendre 8h ou 9h du matin pour qu'elle daigne éteindre sa télé, afin que je puisse m'endormir). J'ai appelé plusieurs fois les gendarmes pour dénoncer ce tapage effroyable de ma voisine qui était contraire au règlement intérieur du syndic demandant de faire un usage raisonnable des appareils de télé et de radio la nuit. En effet, on pouvait entendre
la télévision de ma voisine de l'extérieur pendant un mois, télé qui hurlait toute la nuit autant que
l'autoradio de ces jeunes sortant de boîte de nuit en mettant le son très fort. C'est incompréhensible que les gendarmes ne soient pas intervenus. J'habitais juste au-dessus, et je n'étais pas loin d'avoir un malaise, de perdre la tête. Dès 18h je ne pouvais rester chez moi tellement la télé était forte. Faisant des études de mathématiques au CNED par correspondance et ayant ma carte d'étudiant à l'IUT de Lannion, je me réfugiais au réfectoire du CROUS de 18h à 22h, parfois minuit pour travailler, espérant que se tarisse l'orage de la télé hurlante de ma voisine. Mais en rentrant chez moi il fallait que je prenne des dispositions : j'ai continué à appeler les gendarmes. Or, non seulement ceux-ci ne sont pas intervenus mais ils m'ont menacé de mort par téléphone : "tête de con d'intello, on t'a suivi à l'IUT de Lannion, t'es dans le collimateur de la justice, on va te faire une tête au carré". Je pense que ces gendarmes agressifs se réfèrent à la tête "pensante" de la Justice, M. Martin, ignominieux menteur qui a dû publier des informations mensongères sur moi dans les fichiers de la justice pour se départir des multiples agressions verbales et grossières qu'il avait proférées directement à mon domicile en 2003. D'ailleurs ses propos que j'ai reçus aujourd'hui par téléphone reflètent le goût du crime et de la violence au bout de la bouche, goût qu'il revendique avec cynisme pour me terroriser. Bref, les gendarmes de Perros-Guirec ont agi exactement de la même manière : menaces de mort, non intervention sous prétexte de possession d'informations sur moi. Je me suis même fait convoquer pour l'affaire de tapage. Et lors de ma déposition je me suis fait violemment menacer à mots couverts de ne pas avoir à colporter cette affaire de tapage : "Madame Lucia a dans sa famille des relations avec les militaires et elle est intouchable". Pour ma part, c'était impossible de continuer à vivre de cette manière, il fallait que je trouve une solution. J'ai donc effectué des démarches diplomatiques auprès de ma voisine, mais elle ne comprenait rien : elle était atteinte de surdité et de maladie mentale (maladie d'Alzeihmer), probablement assommée par des médicaments psychiatriques. Je me demande même si, eu égard à l'affaire précédente d'empoisonnement dont je trace le récit, ses élucubrations télévisuelles nocturnes et diurnes n'auraient pas pour origine l'ingestion de médicaments utilisés en psychiatrie. En effet le gendarme Kermouel lors des événements qui ont fait suite a fait valoir que l'infirmière défendait madame Lucia en disant qu'elle ne faisait pas de bruit avec sa télé (c'est un tissu de mensonges, elle fait un bruit effroyable et en permanence !). J'ai pu constater effectivement en espionnant madame Lucia qu'elle guettait l'arrivée de l'infirmière et baissait peu avant qu'elle arrive le son de sa télé, puisque j'étais juste au-dessus pour le constater. Les délits sonores de madame Lucia ne remettent en rien en cause sa ruse. J'ai même appelé une nuit le SAMU de Lannion en disant que ma voisine faisait un tapage effroyable, qu'elle avait perdu la tête et que les autorités ne voulaient ou pouvaient intervenir. La personne au bout du fil a rétorqué qu'elle laissait aussi sa télé allumée la nuit, et que cela ne dérangeait personne. Je n'ai jamais démenti qu'il était possible de laisser sa télé allumée la nuit sans déranger les autres puisque ma mère m'a autorisé de me réfugier 2 ou 3 fois chez elle, et j'ai constaté que malgré une cloison de quelques centimètres entre ma chambre et celle de mes parents l'usage de la télé de leur part ne me dérangeait aucunement. C'est donc bien que madame Lucia laissait sa télé nettement trop fort puisque même au bout de quelques minutes après qu'elle allume sa télé je suis obligé de sortir en urgence pour ne pas m'énerver, en allant au café ou autre. Ce qui est aberrant c'est que personne ne puisse venir éteindre la télé alors qu'elle est endormie et que cet appareil tourne inutilement toute la nuit. J'ai constaté suite à sa visite en pleurs à mon domicile qu'elle avait été attaquée la nuit, probablement par un voisin excédé par le tapage, et qui avait cassé sa fenêtre, sans pénétrer dans son domicile. Mais elle avait reçu des éclats de verre. C'est probablement le fait du voisin du dessus, un allemand, qui se plaignait aussi du tapage de madame Lucia, bien qu'habitant deux étages au-dessus de la télé hurlante de madame Lucia. Il la menaçait verbalement à cause de son tapage d'après le voisin d'en face. Elle a alors fait mettre une fenêtre avec un plexiglas très dur, avec isolation phonique. Et effectivement il était difficile d'entendre cette fois le bruit de l'extérieur (il fallait tendre l'oreille), mais, quand vous dormez au-dessus, ce tapage nocturne continuel est un véritable enfer. Avec les armatures métalliques cela fait caisse de résonnance : c'est horrible. J'ai acheté un casque de chantier pour me protéger du tapage, mais le bruit avec cette protection était toujours aussi effroyable. J'avais deux méthodes pour la prévenir. Elle m'avait laissé son téléphone pour que je la prévienne en cas de bruit, donc soit j'hurlais par téléphone pour la prévenir (elle était complètement sourde !), soit je tapais toutes les nuits sur sa fenêtre, parfois avec des manches d'outils de jardin qui une fois se sont cassés lors de l'impact avec la fenêtre, et elle finissait par éteindre sa télé, en général au bout de 15 à 40 minutes. Au bout de plus de trois mois de tapage de madame Lucia j'étais épuisé. Ni le syndic, ni l'agence louant l'appartement n'avaient pouvoir de faire cesser le tapage impévisible de madame Lucia qui pouvait se produire n'importe quand du fait de ses pertes de mémoire. Une nuit il était impossible de lui faire éteindre sa télé, même en tapant sans arrêt pendant des heures sur sa fenêtre. je me suis d'ailleurs fait très mal aux mains. Il ne me restait plus qu'une solution : trouver un objet suffisamment lourd à lancer sur la fenêtre doté de ce plexiglas réputé incassable (mes mains en ont fait les frais), ce qui avec le bruit de l'impact la réveillerait. C'était la seule solution ou dormir dehors, et personnellement avec tous les clochards qui traînent de nos jours ce n'était pas ma tasse de thé, d'autant que j'avais déboursé une caution salée pour me retrouver dans cette situation abracadabrante. Malheureusement mon idée n'était pas très bonne. La pierre a traversé la fenêtre, s'est cassé en deux sous l'impact, et madame Lucia a reçu un éclat. Le lendemain les gendarmes sont passés chez moi, ont tapé très fort sur ma porte. J'ai ouvert et je me suis fait tabasser, presque mortellement, sans ne pouvoir rien dire, par le gendarme Kermouel, individu très dur et violent à qui on ne peut rien dire. En garde à vue j'ai failli perdre connaissance suite à l'agression de Kermouel et ils m'ont laissé m'allonger. L'interrogatoire a duré 3 heures. Je n'ai rien pu dire. Je me suis fait menacer, insulter. Le procès verbal a été complètement falsifié : je prenais tous les torts ! Kermouel s'est probablement inspiré des méthodes de contrefaçons informatiques du gendarme Martin qui est en réalité un violent agresseur, usant d'agressions verbales extrêmement violentes. C'est même moi qui s'est fait accuser de tapage ! Je suis effectivement musicien et j'ai un piano numérique, mais eu égard aux conditions vis-à-vis des autres locataires je ne faisais aucun bruit. D'ailleurs au conservatoire de Nevers il y a même le panneau "Silence". Par ailleurs j'étais occupé à des études de mathématiques et j'avais décidé de ne pas faire de musique puisque cet appartement n'était pas adapté à cet usage. Sous le choc du tapage de madame Lucia qui était analogue à la "furia de Nimes" ai-je précisé au gendarme Kermouel, j'ai effectivement utilisé 2 ou 3 fois ma guitare, ma trompette et mon piano, mais cela a duré en l'espace de 3 mois et demi tout au plus 3 ou 4 heures, alors que le tapage de madame Lucia se compte en centaines d'heures. Le procès verbal de Kermouel est un tissu de mensonges et une odieuse machination pour excuser les propos vulgaires et violents dont il a fait usage, sans parler des coups et blessures lors de son intervention. Mes parents m'ayant rapatrié à leur domicile dans la Nièvre, il m'a fallu plusieurs semaines pour m'en remettre, avec des syncopes au bord du comas me forçant à me lever à des heures imprévisibles. J'ai reçu récemment des menaces extrêmement discourtoises émanant du gendarme Delage mandaté soi-disant par le procureur Gongora ou J.C. Clément qui doivent sacrément être désinformé sur les pratiques "judiciaires" des gendarmes, et ils me forcent à prendre d'autres médicaments psychiatriques alors que je suis parfaitement sain d'esprit. Il me semble qu'il y a un grave dysfonctionnement au sein des procédés judiciaires en France, avec des falsifications mensongères sur la nature psychologique des citoyens. Peut-être faudrait-il une tutelle internationale pour régulariser cette situation de dérives, disons-le fascistes, qui se produit en France. Les pratiques d'agressions sauvages, arbitraires et extrêmement violentes (que ce soit verbalement et physiquement) des gendarmes Martin, Delage et Kermouel, ainsi que du sous-brigadier Renaud n'apparaissent à aucun endroit dans les réseaux judiciaires en France, et sont complètement censurés dans la presse qui détient d'ailleurs d'après Reporter sans Frontières un record en matière d'abscence de liberté d'expression, par rapport à nombre d'autres pays, même du Tiers-Monde. De plus le procureur Jean-Claude Clément, par l'entremise des menaces vulgaires du gendarme Delage, fait chanter ma famille pour que je consulte un psychiatre travaillant au tribunal, pour me faire payer ou non une amende, cela en plus d'ailleurs des consultations avec mon psychiatre M. Bernard Philippe de la clinique du Tremblay, qui sont déjà extrêmement avilissantes. On voit d'ailleurs déambuler dans cette clinique des gens complètement démantibulés par des produits psychiatriques. On me précise des dates de convocation obligatoires, ce qui fait penser aux types de convocations dont étaient l'objet les juifs par les nazis dans les années 40, juifs qui étaient
considérés comme des individus inférieurs par rapport aux militaires nazis, aryens parfaits aux yeux bleus, sans aucun défaut, notamment en matière de jugement et savoir-vivre. Je pense qu'une justice étrangère devrait intervenir pour juger ce type d'agressions sauvages et incohérentes en matière de droit du citoyen, tout au moins de liberté minimale de diffusion médiatique. Par exemple on peut demander pour les étudiants en mathématiques un bureau à la mairie de [...], étudiants qui ne peuvent travailler chez eux à cause des manipulations judiciaires liées à ce schéma mental de soumission archaïque à des gens pour qui l'éducation scolaire est pour le moins la moindre des préoccupations, et on essuie un refus catégorique. Donc, en même temps que d'être l'exécutif, la mairie de [...] est aussi le judiciaire et le législatif. On ne sait pas par exemple que des gens qui ont des difficultés scolaires à cause de myopie non détectée pendant plusieurs années s'avèrent être d'excellents mathématiciens et physiciens à l'âge adulte lors de formation continue durant plusieurs années (c'est en tout cas mon cas). Et ce n'est pas la scientologie de la mairie de [...] qui va prédéfinir la vérité de mon esprit soi-disant aliéné par rapport à leurs pratiques de soumissions archaïques douteuses, sous prétexte de brandir ces « diplômes » issus de modes de pensée archaïques, niant l'évidence de la réalité en matière de modernité du savoir.

Cordialement,
N.

Affaire de viol des 4 gendarmes de Clamecy dans la Nièvre
Courriel envoyé à diverses organisations (judiciaires, de presse, associatives...)
« Bonjour monsieur,



Je vous contacte étant donné que j'ai reçu des menaces de mort par téléphone cette nuit à minuit et demi. Je connais les personnes qui m'ont menacé. Il s'agit de 4 gendarmes de Clamecy dans la nièvre qui étaient intervenus à mon domicile en 2003 à Clamecy. Je ne suis pas très certain que les choses qu'ils me font subir soient très légales. Avant de m'emmener au poste en 2003 ils m'ont immobilisé avec des méthodes physiques qui sont très éloignées de mes conceptions personnelles
puisque je suis mathématicien et compositeur (je suis référencé sur Google, et j'ai réalisé un site Internet, [...]). Je reconnais une certaine légitimité de leur intervention puisqu'à la suite de l'ingestion d'un poison qui rend fou administré au début de 2002 par un médecin-ripoux, le docteur Kwaku Johnson, probablement un drogué qui n'a pas la mesure de ses actes, je suis parti dans une série de délires que je détaille dans mon rapport ci-joint, délires qui n'étaient pas dangereux mais tout de même gênants pour la population (affiches ou mots bizzares laissés un peu n'importe où). Entre-temps j'ai trouvé un antidote (contrepoison) qui m'a permis de retrouver le contrôle de mes facultés cérébrales, ce qui va s'avérer pour M. Johnson très épineux à justifier, si la justice fait un jour son travail. L'intervention des 4 gendarmes a été très violente et ils en ont profité pour me violer à mon domicile (sodomie), en me traitant de tous les noms. Je vous cite certains termes extrêmement vulgaires qu'ils ont employés : "petit mongole, sale trisomique on va jouir dans ton cul". Je ne me suis évidemment jamais remis psychologiquement de ce viol, et c'est avec le même type de vocabulaire qu'il m'ont menacé tout à l'heure par téléphone. J'ai failli m'évanouir, je suis terrorisé et j'ai une crise d'hypertension. Ils me menacent de mort, je cite : "Sale
petite merde de trisomique on a ton adresse, on va venir t'enculer, et si tu parles, cette fois tu vas recevoir un pruneau dans la tronche". Je n'ai jamais rien dit jusqu'à présent à cause des menaces de mort et de l'amende qu'ils m'ont fait payer par le biais du Trésor Public de Nevers en France, mais je souhaiterais essayer de faire valoir mes droits auprès de la Belgique ou d'un autre pays d'Europe. En effet, je m'étais adressé au procureur J.C. Clément du tribunal de Nevers, mais j'ai reçu d'autres menaces de mort du gendarme Delage de la Charité s/Loire, tout aussi grossières, détaillées dans mon rapport (téléchargeable à cette adresse : [...]) ; par ailleurs M. Delage a l'intention de me faire payer une autre amende (je détaille tout cela dans mon rapport). Les faits que je détaille sont malheureusement parfaitement véridiques et ayant d'ailleurs pour origine de toute évidence des faux en écriture judiciaire du procureur lui-même. Je pense qu'une police belge ou européenne devrait perquisitionner au domicile de J.C. Clément, le procureur de Nevers, afin de le prendre en flagrant-délit de cet usage de faux en écriture judiciaire avec atteinte à la personne par voie informatique, visant à faire payer des amendes par ces faux, en abusant de la faiblesse des victimes.
Cordialement,
N.»

Mise à jour de l'affaire (17/07/2010)
J'ai encore reçu des menaces de mort cet après-midi par téléphone à mon domicile par un des gendarmes de Clamecy parlant au nom des 3 autres. Je vous rappelle qu'ils m'avaient violé à mon domicile (fin 2002 / début 2003), et torturé physiquement de manière ignoble. Je vous cite mot pour mot les propos que le gendarme m'a tenus aujourd'hui par téléphone : « Espèce de petit enculé, tu nous as dénoncé ! La sodomie c'était pour la facture de France Télécom. Pour la balance on va t'écorcher vif ». Je dois dire que ce monsieur précisant que son affiliation à la gendarmerie lui donne pouvoir pour faire usage d'une telle vulgarité me donne envie de vomir. J'avais prévu aujourd'hui de travailler sur un cours de physique/chimie universitaire. Je ne vois pas ce que les menaces de mort de ce monsieur ont en rapport avec la loi. Ce monsieur, avec sa vulgarité cynique, me fait perdre ma journée, et je ne suis pas dédommagé. Par ailleurs, au sujet de la facture de téléphone, je crois que ce monsieur se réfère aux événements de 2000, précisés auparavant dans ce rapport (extorsion et usage frauduleux de mon numéro de carte bleue, avec non remboursement par le Crédit Agricole d'Issoudun de mon actif de 2000 euros). A la suite de l'extorsion de plus de 5000 euros par M. Brancq en cheville avec un VRP-avocat, Melle Garçon, et le président du tribunal d'Issoudun, j'étais à Issoudun dans une atmosphère de psychose et j'avais invité un colocataire, M. Soriba, pour créer un front psychologique face à ce malfaiteur, M. Brancq et son collègue-escroc, le banquier André de Dijon (l'escroquerie est détaillée dans mon rapport ci-dessus). Précisons que M. Soriba avait publié une annonce dans le journal pour se loger dans l'Indre. Or ces extorsions par faux et usage de faux judiciaires ne font de toute évidence que tomber la victime de ces atteintes à la personne de Charybde en Scylla puisque M. Soriba s'est avéré être aussi un parfait escroc qui utilisait de manière irraisonnée en mon absence mon téléphone fixe pour appeler sur des portables (abus de confiance), sans m'en aviser. Evidemment, en ma présence, il se gardait bien d'appeler. Or, habituellement j'ai une facture de 30 euros et cette fois elle s'élevait à plus de 500 euros, ce qui correspondait au surplus des appels dans le dos de M. Soriba (abus de confiance), et il a été impossible de faire valoir mes droits en justice (en « justice » française...). Par ailleurs, en 1999, ma voiture a été ouverte au pied de biche alors que j'étais en boîte de nuit, en vacances à Bandol. Mon téléphone portable ainsi que d'autres affaires ont été volées, et il a été impossible de me faire rembourser, alors que j'avais racheté un appareil de même valeur (80 euros). J'avais laissé ces affaires dans ma voiture, ne pouvant les laisser au camping. Les malfaiteurs ont également volé un dictaphone contenant une cassette avec de nombreuses mélodies, et je suis presque certain d'avoir reconnu plusieurs d'entre elles à la radio, sur des chansons d'Angun, bien des années plus tard ! Bref, eu égard aux menaces vulgaires que j'ai encore reçues ce matin du gendarme de Clamecy, je me demande si ce dernier, du fait de son appartenance à une classe sociale où l'étude scolaire n'est pas un but principal, a tissé des réseaux de relation avec des malfaiteurs pour empêcher les gens honnêtes de faire valoir leurs droits en justice. Il est inconcevable que mon témoignage soit considéré comme caduque avec la « justice » française, alors que je suis abonné France Télécom depuis 1996 et qu'en 14 ans j'ai toujours payé mes factures se portant au maximum à 30 euros environ par mois avec l'abonnement Internet, et qu'une fois en 14 ans il y a une mensualité de plus de 500 euros. Apparemment ces gendarmes n'ont pas la perspicacité intellectuelle pour voir qu'il y a anguille sous roche, mais en plus utilisent ces informations pour faire valoir comme valeur de loi des atteintes à la personne, viols et vulgarités extrêmement graves et très loin de ce que peut attendre mon niveau de culture. Par ailleurs leurs manipulations ne sont pour le moins pas très rentables eu égard aux travaux universitaires que je ne peux effectuer à mon domicile à cause de l'atmosphère pestilentielle de menaces de mort au-dessus de mon domicile, menaces cyniquement validées par les autorités « judiciaires » pour le compte de gens qui, eu égard à leur vocabulaire vulgaire, feraient mieux de se mettre à niveau en français avant de prétendre représenter la loi de manière légitime à tous les niveaux.

J'ai bien lu votre rapport sur le gendarme Martin de Guérigny exerçant dans la Nièvre en France. Je travaille à la DGSE. Je dois vous dire qu'il est surprotégé. Il a été formé militairement, et sa spécialité c'est l'égorgement. Il a égorgé plusieurs personnes lors de missions secrètes à l'étranger. Des journalistes, à la demande de Eric Besson et Brice Hortefeux, ont été "éliminés", ou "savamment trucidés" par Martin lors de missions secrètes à l'étranger par des méthodes de "clef de bras suivie d'égorgement" du fait que ces journalistes avaient des information "affaiblissant le pouvoir", et il fallait "faire valoir la Raison d'Etat". C'est en tout cas les informations qui ont été communiquées à la DGSE par Brice Hortefeux et Eric Besson eux-mêmes. D'ailleurs Martin fait aussi usage de duplicité et canulars, méthodes militaires pour affaiblir psychologiquement ce qu'il appelle les "ennemis de Brice", et pour obtenir de les trucider. Par exemple il essaye de faire accuser du meurtre du petit Grégory un compositeur classé dans des sites officiels comme l'un des compositeurs les plus abouti de notre civilisation toutes époques confondues, doublé d'un très bon scientifique. Evidemment ce compositeur n'a rien à voir dans cette histoire mais il détient des informations très gênantes sur Martin qui l'a agressé par erreur à son domicile. Nous déplorons tout de même les méthodes de Martin. C'est lui qui a organisé les attentats de Londres. Nous ne connaissons pas la raison précise pour laquelle il a posé ces bombes. Il n'est tenu que par ses appuis militaires et ministériels. Imaginez ce que ça pourrait donner si l'on apprenait publiquement qu'outre ses canulars pour faire trucider ou trucider lui-même l'un des meilleurs compositeur mondial, on apprenait qu'il obtenait des ordres de mission d'assassinats commandités par Brice Hortefeux et Eric Besson, et qu'il avait en plus posé des bombes à Londres et tué de nombreux civils.