Le Marin
Il était une fois un marin à l'esprit désireux de liberté, de grand air et de grand large. Jeune et encore plein d'avenir voyait en la société, quelque chose qui au lieu de se construire se désunis peu à peu. Il prit une décision audacieuse. Notre jeune marin liberra les amares de son bateau, hissa les voiles et se laissa guidé par les vents.Au village, son départ eut vite fais le tour de tout le monde et l'on disait et l'on chantait que le jeune marin était partit suivre sa destinée. Et en effet le commérage était fondé. Le jeune homme audacieux me tint, avant son départ, les paroles suivantes :
"Sais-tu mon ami, que seule la mer et l'océan peuvent te permettre de subvenir aux besoins fondamentales de toute une vie ? Le ventre des mers et des océans peut te donner la viande, du moment que l'on reconnaisse au poisson la qualité de viande. Et la chevelure bleuâtre de ces immensité d'eau peut te donner de quoi te désaltérer du moment que tu sais en filtré le sel. Si je te dis cela aujourd'hui, cher ami, c'est que je vais partir sur les mers et océans du monde, guidée par le vent dans ma voile. Pourquoi partir ? Pour échapper de ce monde qui n'ait que m'échanceté et en découvrir de nouveau, au gré du vent, mon seul berger, mon seul guide vers ma destinée. Fais en l'échos au village, demain, après mon départ. Je te salut, mon ami, en espérant te revoir bientôt."
Sur ces mots le jeune homme vogua et vogua des jours et des jours durant. Puis passèrent les mois. Il se nourrissait de poisson et buvait l'eau de la mer une fois filtrée. Et jamais de terre à visiter, jamais de peuple à rencontrer, de coutumes inconnu. Passèrent les années, puis passa sa vie. Sur le pont de son voilier, étendu de tout son long, le jeune homme, qui maintenant était devenu bien vieux, inscrivit sa dernière note sur son livre de bord. Les propos peuvent se résumé en ces quelques lignes :
"Mon ami. La mer et ma jeunesse m'ont eu. Ils m'ont, à eux deux, épuisé une vie à chercher quelque chose d'introuvable. J'ai vogué au fil du vent depuis que je t'ai laissé et cela sans jamais voir un seul petit bout de terre. La vie était triste et monotone, sans ses coups de manivelles qui me faisaient hisser les voiles, sans ammaré mon bâteau. Mon ami, voici la mort qui s'approche de moi, alors s'il te plaît, fais à ta femme et tes enfants la promesse que tu ne pourra jamais me faire. Promet leur de ne jamais suivre le même chemin que moi, de ne jamais te laissé guidé par un vent, soit toujours acteur de ta vie et ne pense pas que la destinée te sauvera, c'est elle qui m'a perdu. Promet le leur... Pormet le moi..."
Vous de même j'attends votre promesse selon laquelle vous ne vous laisserez pas aller par la destinée.
VOTEZ !
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Le texte étant plutôt triste en lui même, mais j'ai toujours écrit des histoires noires (pardon! mais c'est trop bon - comme ils disent dans la pub), voici une petite vidéo de mon candidat préféré. En effet De Villier. Je n'avais encore jamais vu de personnalité politique ou autre, avoir l'air encore plus niaise en vrai que leur homologue marionnette des guignols. Moi ça me fais marrer !
Merci pour tes commentaires toujours perspicaces, ça devient rare.