Mercredi 5 novembre 2008 à 19:59

Ce matin, heure française, les communautés noires étaient en liesse, affirmant que ce président serait un bon président. Bah, on se rassure comme on peut. N'empêche que de l'avis général, Barack Obama, 44ème à porter le titre de president of USA, est quelqu'un qui fait bonne impression, avec une aura certaine et que c'est pour ça qu'il a touché tant de monde.

Touché tant de monde, certes ! A travers le monde puisque en Europe se fut le candidat préféré de la plupart, boudant John McCaïn. Bizarrement, on peut se demander pourquoi, ce candidat fut tellement aimé des français par exemple. S'il incarne le changement, de part sa couleur de peau, ce qui n'est pas contestable, en général, personne ( pas même moi ), ou alors peu de monde, ne serait capable de décliné le programme de Barack Obama. Alors pourquoi ? Bonne question.

Et après tout, tout le monde s'en fout puisque l'important c'est qu'il soit noir, ou métis, à votre guise, et qu'il dénote avec les autres candidats ainsi qu'avec le passé du pays. C'est le premier président noir du pays.

Mais alors on est en droit de se poser la question : Mais à quand un embrasement populaire, en France, pour l'accès au pouvoir de minorité visible, ou bien même simplement d'une catégorie de personne visé par le terme « sexe faible » ? Peut-être que ce message, « Obama, premier noir à être élu président des Etats-Unis... » sera le message d'espoir qui fera prendre conscience au français que l'on peut faire bouger les choses. En attendant pas un président noir, pas même un premier ministre, quelques ministres et secrétaires d'état d'origines maghrébines.
 

Concernant cette élection, il est peut-être bon de rappeler que Obama a battu son rival, McCaïn, de plus de 5 millions de voix, remportant également plus de 300 grands délégués (soit bien davantage qu'il n'en faut pour pouvoir accéder au « trône »).

C'est pour John McCaïn se que l'on appelle une défaite cinglante. Maintenant reste à savoir si Barack Obama n'a pas tromper son monde en s'imposant comme quelqu'un qui va imposer le changement. Par exemple on peut espérer qu'il se débrouille mieux que Nicolas Sarkozy, dans notre pays bien sûr, qui avait fait cette même promesse de changement. Bah, il y est arrivé mais pas dans le bon sens.


 

Nicolas

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par Nicolas

Lundi 3 mars 2008 à 9:16

Quand on regarde la Russie, on pourrait se dire, avec notre propre recul bien Français, que le pauvres Russes, ils ne sont pas sortit de la mouise. Mais ce qu'il y a de réconfortant c'est qu'on peut très facilement imaginer que de telles évènements ne se produise jamais en France. "Mais de quoi qu'il parle ?". Doucement, doucement, je n'en suis qu'à la phase d'accroche... Bon ok, je m'explique.

Prenons le cas catastrophique des élections présidentielles russes. Gageons qu'en France une telle élection ne pourrait voir le jour qu'entre 19h50 et 20h00, le temps des guignols de l'info. Si, si parce que moi j'appelle ça une mascarade politique. En gros prenez tous les médias russes, vous secouez fort et vous les lâchez dans une pièce super sombre. Vous mettez Vladimir Poutine ou son second le fieffé Dmitri Medvedev dans la pièce. Puis vous allumez la lumière.

A ce moment, par un phénomène génitique que même les scientifiques NAZIS n'ont pas encore réussi à comprendre, les journalistes et principaux acteurs des médias russes connaissent comme une renaissance.  Et vous le savez, quand un journaliste naît il prend la personne qu'il voit comme sa mère.
Et ça nous mène où tout ça ? Et bien au phénomène 'Fête des Mères' au quotidien. Comme vous le savez peut-être avant-hier un nouveau président Russe a été élu, sur fond d'habituel bataille médiatique. Mais c'est pas la même bataille qu'en France, en Russie, je vous l'ai déjà dis, ce sera au journal ou au JT qui fera le plus beau poème pour sa maman.
Hier c'était pour Poutine, aujourd'hui c'est Medvedev. Maman Medvedev a enfin connu à son tour le printemps électorale. Ce fameux printemps durant lequel on voit fleurir, à tous les coins de rue, des portraits de celui qui doit être élu. Sous Staline, on appelait ce printemps là, le culte de l'image. Sous Medvedev paraîtrait qu'on appelle ça une élection démocratique. Mouais...
Bon mais ça reste aux électeurs russes de choisir son président. Valait-il mieux voter pour un candidat soutenu par un ancien bourreau de Tchétchènes mais également réhausseur de l'économie russe, ou bien pour un candidat inconnu et non soutenu par la politique russe ? Vous auriez fait quoi à leur place ?
Bon et puis la rumeur de fraude électoral commence à circuler. Je vous invite à lire cet article.
En France ce genre d'élection ne pourrait pas arriver. D'accord le culte de l'image a déjà commencé avec Sarkozy. A l'instar de Poutine qu'on voyait faire du judo, on voit Sarko faire du footing. Mais Poutine, ne l'oublions pas, à remonter le niveau économique de la Russie. Et ça Sarko... Bref côté France on a encore de nombreuses années à vivre sans la crainte d'une monarchie d'affinité.

Toujours en Russie, j'ai appris récemment une décision des plus réchauffantes pour mon utopie quotidienne, mais également réalistement hilarante. En effet des prêtres orthodoxes comptent lutter contre la xénophobie (moi j'appelle ça du fascisme, mais bon) par la discussion. Oui parce qu'on le sait bien les religieux c'est pas des violents. Bon déjà, je ne sais pas si la bonne parole leur fera grand chose. Au pire, ça va irriter les skinheads  russes, comme de l'eau bénite sur un vampire.
Il faut aussi rappeler qu'en Russie, lutter contre le fascisme ça reviendrait en France à lutter contre les jeans taille basse et le strings qui dépassent. Le tout par la parole. Si, si ! Mais laisser les rêver. Vous savez les prêtres ça croient pas au Père Noël mais encore en Dieu.
Peut-être une cruelle désillusion à la clé...


PS : Je ne résiste pas à vous donner un petit lien sur un excellent site humoristique : Maester

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par Nicolas

Lundi 11 février 2008 à 23:19

Non mais sérieusement, je ne sais plus quoi écrire sur ce blog ! L'actualité part dans tous les sens, fait des demi tours au frein à main, et des piqués, des loopings et bien sûr des crashs. Non mais vraiment pour qui on me prend. Ils croient peut-être que Le-Brouillon, on peut le laisser sur place. Ah ah ah !

On récapépète depuis le bédut :


Prenons le Tchad. Y a la misère tout plein là bas. Y a des "barbares" qui font du mal à tout le monde. Les barbares... Vous savez des grands blacks avec des armes et des moustaches. Si, si, même des barbes des fois ! Ceci dit, pour faire une petite aparté entre parenthèse, sans être raciste mais lucide on remarquera que la racaille Tchadienne est essentiellement noire. Et quand on croise un Tchadien barbare et en plus blanc, c'est soit qu'il a mangé un truc pas frais soit qu'il essaie de se faire passer pour un Français.
Il nous aime pas beaucoup les Tchadiens. Enfin j'ai l'impression, surtout depuis qu'on a essayé de leur piqué une centaine d'enfants. Non, il l'ont pas digéré ce coup là. N'empêche qu'avec tout les rebelles tchadiens, ceux qui l'étaient pas (rebelles), ils étaient content que l'armée française aide au déplacement de plus de 700 d'entre eux. Eric Breteau aurait déclaré : "Pour cent petits blacks malheureux et pouilleux on nous file 8 ans de tôle. Donc en théorie les militaires français sont bons pour... 8 fois 7, ça fait 87 ans de cabane". Oui, Eric Breteau est très affaiblie depuis son arrestation.
Enfin tout ça pour dire que l'armée française qui aide le Tchad pour évité des massacres, le président Tchadien ne pouvait pas fermé les yeux. Nan, nan, nan ! Et il paraitrait même que les militaires Français auraient aidés a repoussé les rebelles. Alors Idriss Déby, le président Tchadien, a été obligé de faire un petit geste : "S'ils en font la demande, je suis prêt a étudié rapidement une amnistie des français de l'Arche de Zoé". Mais attention, SECRET DÉFENSE : ce n'est qu'une initiative personnelle d'Idriss Déby. Il n'y a eu AUCUNE pression française.
D'ailleurs, on met tellement l'accent sur ce fait que s'en est douteux. Mais on va faire comme d'habitude : on va croire (ou faire semblant !).

Mouais ! Mais y a pas qu'au Tchad que les choses prennent une tournure échevelée. Prenait, pour rester dans l'international, le cas de l'Amérique. C'est quand même un truc de dingue les élections Américaines. On va (enfin ils vont) devoir remplacer une Monsieur Zéro W. Neurone, par soit : un mormon, un curé au nom de patate, une femme ou un black plus ou moins métisse. A savoir qu'on ne mélange pas les brebis galeuses. Les mormons, souvent considérés comme une secte, s'affrontent aux curés et les sexes faibles aux minorités visibles. En gros, Huckabee contre McCain et Clinton (Hillary) contre Obama.
Bon c'est pas étonnant côté religion les Américains penchent pas mal côté curé, quoique Huckabee commence une lente remontée. Enfin bon il pourrait arrêté tout de suite, à mon avis. Côté démocrate, le choix est cornélien. Vous vous rendez compte, choisir entre son côté machiste et son côté raciste ? Alors tantôt le machisme prend le pas sur le racisme et parfois c'est le contraire. A priori, Hillary Clinton est mieux placé que Barack Obama. Mais de si peu ! Non mais Barack devrait laissé Hillary gagné les primaires démocrates. En Amérique, un black présidentiable c'est un peu comme un deuxième tour des élections française en 2002 avec Lepen. Impensable, ordurier !
Mais sachez le tout de même, dans Le-Brouillon on a prédit tout ce qui pourrait rendre cette année 2008 plus joviale mais qui n'arriveront certainement jamais. Parmi ces prévisions, Obama a été élu président de la république. Aaaahhh domage !

Côté Français on se prépare au municipale. Et du côté de Paris, on avait jamais vu Neuilly aussi folklorique depuis la chanson Auteuil, Neuilly, Passy, des Inconnus. Effectivement, le préposé UMP, oui on a donné le choix à personne (même pas lui pourrait on croire), M. Martinon a été lâchement abandonné par ses seconds et troisième de liste.
Bon ça arrive, mais poussons un peu. Préposé, mais par qui ? Par Sarkozy, bien sûr ! Et qui faisait partie, des lâcheurs, des faux frères, des voyous, des traîtres ? Sarkozy, bien sûr ! Et qui c'est qui ressemble à son papounet chéri ? Sarkozy, bien sûr ! Ah oui parce que j'ai oublié de préciser... Le Sarkozy qui prépose, s'appelle Nicolas et, au demeurant, est notre président de la république. Quant au Sarkozy qui trahit Martinon et qui ressemble à son père, c'est Jean, qui au demeurant est le fils de notre président, qui au demeurant est notre président, qui au demeurant s'appelle Sarkozy Nicolas. Demeurant va !
Bref le père fait, le fils défait. Mais peut-être pour la bonne cause et avec le soutient de papounet, peut être retrouvera-t-on Jean Sarkozy en tête de liste pour les municipales de Neuilly.



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par Nicolas

Lundi 3 décembre 2007 à 13:27

Ca y est la Russie à lancer sa campagne présidentielle. Actuellement le président est le très controversé Vladimir Poutine. Ou presque !

La campagne est PRESQUE lancée. En effet la date des élections ont été fixé au 2 mars 2008. Tant que cette date n'est pas paru au journal officiel russe, la campagne n'est pas considéré comme commencée.
La campagne a PRESQUE un enjeu. Régulièrement, en Russie, il y a des manifestations anti-Poutine, avec pour principal leader Gary Kasparov (Champion du monde d'échec). Ces manifestations sont souvent réprimé violemment par les forces de l'ordre et Kasparov en est au moins à sa deuxième arrestation. Chaques manifestation anti-Poutine étant "bien évidemment" interdite.

Poutine est PRESQUE très controversé. Effectivement, seulement les pays étrangers à la Russie et une mince partie du peuple russe sont écoeurés par la politique Poutiniste, notemment sur le Génocide Tchétchène. La plupart des Russes, donc la plupart des gens concernés par l'élection présidentielle, voient en Poutine celui qui a réussit a maintenir la stabilité du pays et même a faire progresser l'économie du pays. Ce qui, en passant est vrai.
Du coup, Poutine ne sera PRESQUE pas réellu. La constitution russe interdit a un président d'effectuer deux mandats consécutif. Cela fait huit ans que Poutine est président de la Russie, soit justement deux mandats. L'actuel président à donc d'ors et déjà confirmé qu'il respecterait cet interdiction. En revanche il n'a pas encore donné son soutient à un candidat du partie Russie Unie, son partie. Mais vu sa grande popularité en Russie, son dauphin aura énormément de chance de gagner.

Pourtine ne sera, après les élections, PRESQUE plus dans l'univers politique. En faites c'est complétement le contraire. Ce messieur a dit qu'il restera influent dans la politique de son pays. Chose inquiétante si, effectivement, le dauphin de Poutine sort vainqueur aux sorties des urnes.

Par contre, un truc COMPLETEMENT nouveau. Les Russes, se trouvant dans les régions d'Ossétie pourront votés. Il faut rappeler que les Russes dans ces régions forment le plus gros poucentage de la région.



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par Nicolas

Vendredi 7 septembre 2007 à 15:46

Vous connaissez certainement déjà nombre de détail concernant les relations tendues entre l'Iran et les Etats-Unis, sans parler de la Grande-Bretagne et de la France. Vous en avez entendu parler au JT, dans la presse ou à la radio et sur ce blog si vous le suivez régulièrement. Mais si ce qui vous est présenté semble toujours la vérité il ne faut pas oublié que les médias sont de plus en plus contrôlé. Si vous regardez le journal de TF1, il n'est pas nouveau qu'ils sont de droites, si vous regardez France 2 ou France 3, ils reçoivent des aides de l'Etat pour financer la chaîne. Donc pas vraiment d'indépendance, donc peu de chance pour que l'objectivité y soit installée. Il reste Canal +, Arté et M6 dont je ne connais pas les orientations politiques.

Pour ma part, les sources les plus couramment utilisées dans ce blog, sont l'AFP, AP, Reuters et Le Monde. L'Agence France Presse (AFP) a été épinglé par le Canard Enchaîné, il y a plusieurs mois déjà, pour ne pas avoir communiqué certaines informations, sur demande de Nicolas Sarkozy. L'Associated Press (AP) et Reuters sont des agences de presses basé en Angleterre, donc dans un pays qui soutiendrait l'offensive américaine en Iran. Je ne connais pas non plus le degré de contrôle des médias par le gouvernement. Quand au Monde, il est détenu par un des trois grands détenteurs de la presse française et grands amis déclarés à la cause de Nicolas Sarkozy.


Donc résumons… Des sources venant de médias au penchant avéré pour le pouvoir en place où des médias dont la situation n'est pas connu. Pas très facile de chercher une vérité dans tout ça… C'est pour cela que de temps en temps, dans certain dossier, l'autre son de cloche peut-être utile. Il existe un très bon moyen, en France, pour pouvoir effectuer cette écoute de son cloche. Imaginez un hebdomadaire entre le magazine et le journal, qui suivent l'actualité importante de la France et la répercute dans ses pages, mais en reprenant des articles de pays étranger, comme ceux visé par exemple. Cet hebdomadaire existe et se nomme Courrier International.

Bref j'ai réussi à trouver deux articles parlant des tentions Américano-Iranienne. Le premier article est un extrait du journal AFTAB de Téhéran et le deuxième un article du journal AL-HAYAT de Londres.

 

AFTAB commence par titrer qu'il est "Dommage que Washington abandonne le dialogue". Le premier paragraphe de l'article parle de l'intention de George W. Bush de mettre les Gardiens de la Révolution iraniens sur la liste noire des organisations terroristes. C'est aujourd'hui le cas et, comme le rappelle AFTAB, "ceux-ci [constitue] ainsi la première force militaire officielle d'un pays à se trouver sur cette liste".

Dans le deuxième paragraphe AFTAB nous apprends que grâce à ses Gardiens de la Révolutions, appelé aussi Pasdarans, ont une "présence active […] active dans tous les domaines" notamment l'exploration de pétrole. Avec la crise du pétrole et la flambée des prix, cela "diminue l'influence de l'embargo américain".

Le troisième paragraphe, rapporte que les Etats-Unis attaque "les pasdarans […] alors qu'ils ne constituent pas une menace pour leurs voisins (le budget iranien est nettement inférieur à celui des pays arabes) et qu'aucun fait concret n'appuie la thèse de l'ingérence iranienne en Irak".

Le quatrième paragraphe rappel l'histoire de cette désormais fameuse liste noire du gouvernent américain. Elle avait, à l'origine, "pour objet de dénoncer les atteintes aux droits de l'homme". Quelque chose en soit de très louable. "Mais, depuis le 11 septembre 2001 et les échecs en Irak et en Afghanistan, cette liste vise à mettre la pression sur les organisations terroristes". C'est déjà moins reluisant, quoi que nécessaire. Pourtant on peut se demander qu'est-ce qui arrive maintenant aux pays portant atteintes de droit de l'homme. Une quête arrêtée ? La suite de ce paragraphe avance certaines hypothèses concernant l'enjeu d'une guerre Américano – Iranienne pour les Etats-Unis, notamment le parti des Républicains, auquel appartient Bush. AFTAB dit par exemple "qu'en temps de crise et de guerre il [le peuple américain] n'est pas enclin à changer de leader", donc l'administration Bush à tout intérêt à "entretenir une atmosphère de peur".

Le cinquième et dernier article de cet extrait du journal iranien porte sur l'objectif américain de convaincre les autres nations d'un lien entre les pasdarans et Al-Qaïda, cela en trouvant sans cesse "des "preuves" de l'implication iranienne en Irak". AFTAB finit par rappeler que "la répétition d'un mensonge sous différentes formes peut le rendre crédible" et qu'en faisant croire que "les gardiens de la révolution contribuent à faire tuer les soldats américains en Irak", les Etats-Unis "pourront créer une atmosphère favorable à une action contre l'Iran".

 

Passons à l'article du journal Londonien, AL-HAYAT, qui titre pour sa part : "Vers une répétition du scénario irakien ?". Dans son premier paragraphe, le journal se pose la question essentiel d'en ce moment. A savoir si oui ou non les Gardiens de la Révolutions iraniens sont des terroristes. Ils répondent à cette question en invoquant "les opposants iraniens [qui] le pensent et certains intellectuels [qui] en portent la trace dans leur chair". Mais tout cela dans une certaine mesure, "Dire cela est une chose, mais inscrire ces mêmes gardiens sur la lise des organisations terroristes […] en est une autre".

Le deuxième paragraphe reprend les inconvénients ces tentions au niveau américains et au niveau international, comme l'hostilité de la Russie et de la Chine contre de nouvelles sanctions contre l'Iran. Puis il avance le fait que "le monde se trouve peut-être au seuil d'une répétition d scénario Irakien, c'est-à-dire, devant la répétition d'un échec". Puis le AL-HAYAT montrent grandement les dents contre l'administration Bush en écrivant que "des esprits normalement constitués chercheraient à réitérer des succès, mais les qualités mentales de l'équipe Bush semblent telles qu'une extension du bourbier irakien vers l'Iran ne peut-être exclue". Et Paf ! Mais dans un soucis d'équité qui prouve tout de même que nous avons à faire à un journal de grande valeur, "dire cela ne signifie pas qu'il faut donner carte blanche à l'Iran, mais qu'il faut mener une politique alliant pressions politico-économiques et ouverture de discussions". Et je suis entièrement du même avis, surtout que l'Iran à commencer à faire de gros efforts du côté de l'AEIA et donc à coopérer.

Le troisième paragraphe de cet article, dit "qu'une telle politique pourrait avoir du succès. Elle a produit des résultats vis-à-vis de la Corée du Nord".

Le journal finit en disant que "si l'on pouvait éviter une nouvelle guerre dans le Golfe, ce serait déjà un succès". Des paroles pleines de sagesses vous en conviendrez aussi bien que moi.




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par Nicolas

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