Allez hop Nicolas, au boulot.
Une crise économique, un système en ruine :
Des Euros en Chocolat
Non tout le monde garde son calme. Rien ne dit que votre banque va faillir, encore moins que vous allez perdre tout votre argent. Surtout depuis que Sarkozy à annoncer le débloquage de sommes colossales pour relever l'économie du pays. Mais enfin rien ne dit le contraire non plus, mais restons optimiste. Répétez le avec moi O-PTI-MIS-TE (Je vois que beaucoup de gens ont besoin de se raccrocher à un prophète).
Ceci dit je ne serais pas celui qui vous dira si vous devez planquer votre argent sous votre matelas plutôt que dans coffre fort de la banque de France. Non moi je voudrais juste présenter un constat de plus en plus repris avec cette crise. Quand la mode économico-capitaliste était libéralisme, c'est à dire aucune intervention de l'Etat dans le domaine économique, on s'est rendu compte que c'était pas ça. Du coup, on a commencé à tendre un peu de l'argent de l'Etat pour que l'économie ne sombre pas. On a justifié ça par un nouveau courant économique, ci-nommé : néo-libéralisme (traduisez : nouveau libéralisme). Ca définition n'est pas très loin de celle du libéralisme tout court. Le néo-libéralisme c'est aucune intervention de l'Etat dans le domaine économique, mais un petit peu quand même.
Bon et puis avec la crise de ces jours-ci, on se rend compte que finalement on doit investir de grosse somme pour réguler l'économie et éviter de tomber dans la déchéance. Mais du coup on va inventer quoi comme courant économique. Idéalement, il faudrait inventé un courant qui permette à l'Etat de réguler l'économie, au jour le jour, pour ne pas avoir à dépenser de grosses sommes qu'on a déjà pas. Mais là, il n'y a plus de libéralisme qui tienne. Alors quoi ? Vous allez me dire, "mais couillon y'a bien sûr le courant keynésien qui répond à ta définition". Oh, bah, non ça va pas ça. L'économie keynésienne ça reste beaucoup trop de gauche pour que la droite l'utilise.
Oh la vilaine caricature. N'empêche que ça reste une généralité : droite libérale, gauche keynésienne. Donc je suis satisfait d'avoir votez centre, puis par défaut à gauche lors de nos dernières élections présidentielles. Parce que visiblement, les voteurs sarkozystes ont perdus leur pari libéral ou néo-libérale (mais en même temps depuis le temps qu'il le perde...). Bref, il est temps de s'unir et d'aider ces pauvres moutons droitistes et égarés à retrouver leur champs. On rigole, on rigole..., on charrie, on charrie.
Nicolas
PS : A venir, sûrement un nouveau graphisme ou au moins le rétablissement de celui-ci, un article sur les élections américaines et une présence un peu plus soutenu dans les semaines à venir.