<Le-Brouillon> Bonjour M. Le Président.
<Le Président> Bonjour.
<Le-Brouillon> Au vue de l'actualité politique, et plus exactement dans le secteur de l'éducation, on dirait que votre deuxième années de mandat démarre su les chapeaux de roues ?
<Le Président> Mais vous savez, depuis que je suis à la tête de l'État c'est la France qui va sur les chapeaux de roues, comme vous dites. Et tant mieux, parce que la France à besoin de changement. Maintenant c'est vrai que certaine réforme sont impopulaire, mais tout de même nécessaire.
<Le-Brouillon> Plus qu'impopulaire, puisqu'elle réunit dans la rue à la fois par les Professeurs qui craignent pour leur emploie et à la fois par les élèves et leur parents qui craignent quant à la qualité de l'enseignement. Comprenez-vous ce phénomène de peur ?
<Le Président> Non. Je vous le dis clairement : Non. Moi ce que je comprends c'est la fainéantise des professeurs et des étudiants qui sont bien heureux que les syndicats aient déclaré "Aujourd'hui on fait grève".
<Le-Brouillon> Tout de même les places que vous allez supprimé dans l'éducation ce sont des professeurs qui vont finir au chômage.
<Le Président> Oui mais, on a déjà pensé à ça et on leur retrouvera aisément du travail.
<Le-Brouillon> Vous avez déjà prévu quelque chose ?
<Le Président> Bien sûr. Tout chômeur depuis 2 ans ne pourra pas refusé plus de deux propositions d'emploi.
<Le-Brouillon> Mais ça c'est effectivement pour tous les chômeurs et pas seulement pour les professeurs. Rien est donc prévu pour eux ?
<Le Président> Les professeurs seront chômeurs ! Donc pas de soucis.
<Le-Brouillon> Bon, très bien. Enfin très bien... Sinon la nouvelle annonce que vous avez faites, concernant l'accueil obligatoire, c'est à dire l'obligation d'un service minimum à l'école, a provoqué un tollé à gauche comme chez les syndicats de professeurs. N'est-ce pas trop réformé d'un coup ?
<Le Président> Non tout se tient. Nous travaillons avec les RG, en ce moment. Ils nous envoient la photo de chaque professeur gréviste. Après, nous nous occupons de virer les professeurs qui sont en grèves. Du coup, on fait une pierre deux coups. On vire ceux qui dérangent et on garde ceux qui se laissent faire docilement et instaure déjà le service minimum en ne manifestant pas.
<Le-Brouillon> Très futé. Donc tout va bien...
<Le Président> ...dans le meilleur des mondes :)
<Le Président> Bonjour.
<Le-Brouillon> Au vue de l'actualité politique, et plus exactement dans le secteur de l'éducation, on dirait que votre deuxième années de mandat démarre su les chapeaux de roues ?
<Le Président> Mais vous savez, depuis que je suis à la tête de l'État c'est la France qui va sur les chapeaux de roues, comme vous dites. Et tant mieux, parce que la France à besoin de changement. Maintenant c'est vrai que certaine réforme sont impopulaire, mais tout de même nécessaire.
<Le-Brouillon> Plus qu'impopulaire, puisqu'elle réunit dans la rue à la fois par les Professeurs qui craignent pour leur emploie et à la fois par les élèves et leur parents qui craignent quant à la qualité de l'enseignement. Comprenez-vous ce phénomène de peur ?
<Le Président> Non. Je vous le dis clairement : Non. Moi ce que je comprends c'est la fainéantise des professeurs et des étudiants qui sont bien heureux que les syndicats aient déclaré "Aujourd'hui on fait grève".
<Le-Brouillon> Tout de même les places que vous allez supprimé dans l'éducation ce sont des professeurs qui vont finir au chômage.
<Le Président> Oui mais, on a déjà pensé à ça et on leur retrouvera aisément du travail.
<Le-Brouillon> Vous avez déjà prévu quelque chose ?
<Le Président> Bien sûr. Tout chômeur depuis 2 ans ne pourra pas refusé plus de deux propositions d'emploi.
<Le-Brouillon> Mais ça c'est effectivement pour tous les chômeurs et pas seulement pour les professeurs. Rien est donc prévu pour eux ?
<Le Président> Les professeurs seront chômeurs ! Donc pas de soucis.
<Le-Brouillon> Bon, très bien. Enfin très bien... Sinon la nouvelle annonce que vous avez faites, concernant l'accueil obligatoire, c'est à dire l'obligation d'un service minimum à l'école, a provoqué un tollé à gauche comme chez les syndicats de professeurs. N'est-ce pas trop réformé d'un coup ?
<Le Président> Non tout se tient. Nous travaillons avec les RG, en ce moment. Ils nous envoient la photo de chaque professeur gréviste. Après, nous nous occupons de virer les professeurs qui sont en grèves. Du coup, on fait une pierre deux coups. On vire ceux qui dérangent et on garde ceux qui se laissent faire docilement et instaure déjà le service minimum en ne manifestant pas.
<Le-Brouillon> Très futé. Donc tout va bien...
<Le Président> ...dans le meilleur des mondes :)