Lundi 21 mai 2007 à 9:06

Et les gagnants sont... :







Alain Juppé : ministre d'Etat, ministre de l'Ecologie, du Développement et de l'Aménagement durables. Il est également très connu pour son passage et son inculpation devant les tribunaux.









Jean-Louis Borloo : ministre de l'Economie, des Finances et de l'Emploi. Lui je le trouve pas mal, il a fait des choses qui ont plutôt eu de bonne répercussion.






Michèle Alliot-Marie : ministre de l'Intérieur, de l'Outre-Mer et des Collectivités territoriales. Elle a la tête de l'emploi puis qu'avant elle fut  au ministère de la défense.






 
Bernard Kouchner : ministre des Affaires étrangères et européennes. Je trouve qu'il a une bonne tête, mais paraît que son principal intérêt en politique est de passer à la télé.




Brice Hortefeux : ministre de l'Immigration, de l'Intégration, de l'Identité nationale et du Codéveloppement. Le fameux ministère de l'immigration et de l'Identité nationale. Ce type là et sa gueule de poivrot, je l'aime pas d'entrée de jeu... Mais on verra bien.






 
Rachida Dati : garde des Sceaux, ministre de la Justice. Porte-parole de Nicolas Sarkozy durant la campagne, elle est plutôt médiatique et a fait bonne impression










Xavier Bertrand : ministre du Travail, des Relations sociales et de la Solidarité. Mais que se cache-t-il derrière ce sourire mielleux, presque simplet ?
Mais voui t'a une bonne bouille !










Xavier Darcos : ministre de l'Education nationale. Verra bien qui rira le dernier. Moi lycéen, pas peur croisade contre toi, si toi choqué nous par biais réforme. Da !






 Valérie Pécresse : ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche. Encore une nouvelle figure dans la politique. Elle a une bonne tête, plus qu'à espèrer que ce qu'elle fera aura également une bonne tête.






Hervé Morin : ministre de la Défense. Pour ma part j'ai pas sa coupe de cheveux. Sa me rapelle un peu celle de Raymond Domenech à chaque fois que l'équipe de France se prenait un but au mondial.






Roselyne Bachelot-Narquin : ministre de la Santé, de la Jeunesse et des Sports. L'ancienne ministre de l'environnement que l'on ne présente plus pour le cataclysme environnementale qu'elle a causé par son passage, revient en force. Pour détruire Santé, Jeunesse et le Sport ? Ah Bon !






 Christine Boutin : ministre du Logement et de la Ville. Ma préférée. Sincérement c'est une Le Pen en jupette. Lors du vote pour le PACS, elle a brandi la bible à l'assemblée et constitue une des figures montantes de la lutte anti-IVG (l'IVG étant l'Interuption Volontaire de Grossesse ; l'avortement quoi). En un mot et demi : Catho Intégriste !








Christine Lagarde : ministre de l'Agriculture et de la Pêche. Bizarrement je ne la vois pas vraiment le long d'un étang avec des bottes et une canne à pêche. Enfin elle est pas pêcheuse. Mais je n'apprécie pas du tout son air de fausse Lady mais de vrai bourgeoise. Que je suis Jaloux !








Christine Albanel : ministre de la Culture et de la Communication, Porte-Parole du Gouvernement. Je me demande toujours si se n'est pas un homme sous une perruque et du rouge à lèvre...







Eric Woerth : ministre du Budget, des Comptes publics et de la Fonction publique. Voilà l'homme qui va devoir faire des efforts herculéens pour redresser la France et réduire (supprimer) les dettes françaises.










Roger Karoutchi : secrétaire d'Etat auprès du Premier ministre, chargé des Relations avec le Parlement. Le premier et dernier bonhomme aux allures un peu moins "française" que les autres. Ouf, on a failli croire qu'il n'y en aurait pas un. Ben ouais question de discrimination positive !







Eric Besson : secrétaire d'Etat auprès du Premier ministre, chargé de la Prospective et de l'Evaluation des politiques publiques. De la famille à Luc Besson, le réalisateur ?



Dominique Bussereau : secrétaire d'Etat auprès du ministre d'Etat, ministre de l'Ecologie, du Développement et de l'Aménagement durables, chargé des Transports (au premier plan). Une tête un peu bouffie, mais il a l'air simpa.







Jean-Pierre Jouyet : secrétaire d'Etat auprès du ministre des Affaires étrangères et européennes, chargé des Affaires européennes. Un mélange génétique audacieux entre Mister Bean et le président grolandais.









Martin Hirsch : haut commissaire aux Solidarités actives contre la pauvreté. Non, non les gendarmes derrière lui ne sont pas à son service.



Voilà donc l'équipe de gagnant qui vont régir pour un temps plus ou moins court notre pauvre France. Ah oui j'allais oublié le plus important :


François Fillon : Premier ministre. Ancien ministre de l'éducation, il a été remplacé après les manifestations lycéennes visant ses réformes anti-TPE et pro-bac en continu.


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par Nicolas

Mercredi 9 mai 2007 à 16:15

A peine élu président, le petit Nicolas Sarkozy, notre vénéré futur patron, a décidé de s'offrir des vacances. Sommes toutes une idée raisonnable après l'intense stress du triatlon politique : Marathon partout en France, Nage à contre courant (face au raz de marée de quolibets de toutes sortes) et tir à la cible (mais qui était donc la cible ?). Mais ces petites vacances se sont subitement transformé en grande croisière luxueuse sur yacht gigantesque : 60 mètres de long pour un coût de 173 000 euros. Mais c'est François Hollande, sur le plateau du Grand Journal sur Canal +, qui a posé la bonne question : "est ce que c'est la république qui paie ? C'est tout ce que je veux savoir.". Et bien moi aussi c'est tout ce que je veux savoir. Néanmoins certaines rumeurs tenderaient à faire penser que le presque président s'est fait préter ce yacht par un ami milliardaire.
Bref l'affront est là quand même. Soit, d'un côté, Nicolas Sarkozy, pas même encore président, commence à spolier l'Etat pour son compte personelle et tout à fais privé, soit, d'un autre côté, il affiche un goût pour le luxe et des liens avec le "gratin" qui ne colle pas avec la politique d'effort citoyen qu'il compte demander au Français pour relever la Patrie. Ca commence bien, et c'est pas tout !

Actuellement, un certain nombres de lois sont dans des cartons et devraient passer assez rapidement devant l'assemblée national. Notemment un projet qui a littéralement capté mon attention : Passer l'âge pénal à 16 ans.
Mais je trouve ça choquant de dire à des jeunes, vous allez peut-être vous retrouvez en prison. Mais que deviennent les maisons de redressements ? Quels sont leurs rôles, à présent ? Et sutout, si on envoit un gamin de 16 ans en taule, comment va-t-il ressortir dans quel état ? A l'heure d'aujourd'hui, les prisons sont dénoncés pour ne pas rendre les gens meilleurs, mais le contraire, pire. Et cela, c'est actuellement, pour les adultes qui sont en détention, dans la force de leur âge. Que va devenir une personne de 16 ans ? Fou ? De plus où les mettrions-nous ? Ce n'est plus un secret les prisons sont surpeuplés, un nombre extraordinaire de condamnation ne sont d'ailleurs, actuellement, pas effectué à cause de cela.
Plus cinglant encore, si on admet les viols qui ont cours dans les prisons, l'on expose des mineurs, peut-être même encore vierge (à peine sorti de la majorité sexuelle) à défleurement sauvage. Mais là c'est plus du défleurement, c'est du désherbage !
De plus, si l'on accepte l'idée du pénale à 16 ans, il découle que toutes personnes atteignant cet âge là est seul responsable de ces actes. Par conséquent il semblerait logique de descendre l'âge de la majorité à 16 ans. Or, rien n'est prévu dans ce sens. En revanche, demandez vous si, à 16 ans, vous étiez aussi mûr qu'aujourd'hui. Demandez-vous si vous étiez aussi responsable qu'aujourd'hui. Rappelez vous de vos dernières conneries, étaient-elles si loin que cela ?
Non et non. Je serais toujours formel là dessus. Ce n'est plus de la répression mais du génocide. M. Sarkozy, laissé la jeunesse là où elle se trouve. Parce qu'avec votre loi vous la tuerez dans l'oeuf !

La musique qui arrivera prochainement est de PKRK est s'appelle On est pas sérieux

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par Nicolas

Lundi 7 mai 2007 à 9:08

Comme vous le savez déjà tous, Nicolas Sarkozy a été, dimanche 6 mai, élu à la présidence de la république, pour cinq longues années pleines de promesses à respectées. C'est un grand coup de barre derrière la nuque pour moi et les personnes qui ont participés, plus ou moins, à une lutte anti-Sarkozy. Nous aurons essayé de leur expliquer, d'argumenter, de tirer la sonnette d'alarme... En vain !
Aujourd'hui cet article n'est pas un article dédié à la fracture législative mais, au contraire, au regroupement de masse. Il est important de se réunir. Nous allons être obligé de s'unir face à toutes les mauvaises applications du pouvoir, de s'unir face à tous les problèmes sociaux, de s'unir face aux abus de pouvoirs. Non pas que Sarkozy fera tout ça, mais que chaque président ou présidente est un jour tenté de se laisser aller. Aujourd'hui j'ai le regret de savoir que Nicolas Sarkozy sera à la tête de l'Etat le 16 mai dans l'après-midi, mais je garde en moi l'espoir de m'être trompé sur son compte, qu'il restera dans l'histoire comme un président qui a su porter sa distinction. Je n'ai guère d'illusion, mais si l'on espère pas on fait quoi ? Et puis au pire il nous restera toujours la voie et la voix de la rue pour nous faire entendre.

A tous et à toutes, néanmoins, sincères condoléances !



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par Nicolas

Mardi 1er mai 2007 à 18:08

On entend partout dire que Nicolas Sarkozy est fasciste, voir pire un NAZI. Mais peut d'entre nous sont capable d'expliquer clairement ce qu'est le fascisme ou ce qu'est le nazisme. Plus difficile, qu'elles sont leurs différences et leurs points communs.

Article dédicacé à :
TarasBulma, qui connaissait tout sur le fascisme et le nazisme bien avant moi,
LateLament, qui en a marre de lire partout : Sarkozy facho.


1°) D'un point de vue historique :

Le fascisme est le nom que se sont donnés le mouvement et le régime de Benito Mussolini, en Italie. Le mot fascisme vient de fascio en Italien et fasces en Latin qui signifie le faisceau. Dans la Rome Antique les faisceaux étaient la représentation de l'autorité de la justice et donc des magistrats. Aujourd'hui encore on peut retrouver le faisceau sur les passeports français.

 
Version française et version italienne du faisceau


Le nazisme est le nom donné à l'idéologie politique du NSDAP (Nationalsozialistische Deutsche Arbeiterpartei - Parti national-socialiste des travailleurs allemands), plus souvent appelé parti NAZI (Nationalsozialismus - national-socialisme). Le symbole du nazisme étant bien entendu la croix gammé. Elle est la représentation de la svastika lévogyre (tournant vers la gauche). La svastika dextrogyre (tournant vers la droite) est le symbole indien de la vertu. Le fond du drapeau est rouge, couleur représentant le socialisme du parti NAZI. Cependant Hitler dit dans Mein Kampf que la couleur rouge, symbole originel du communisme, ne doit pas rester à l'unique usage des communismes. Il me faut rappeler que le communisme était intoléré par les nazis. Les couleurs du drapeau : rouge, blanc et noir sont les couleurs de l'Empire Allemand.

  
Svastika Lévogyre et Svastika Dextrogyre

2) Caractéristique :

Le fascisme se caractérise par l'objectif de fonder un état fort. Il est par définition un état totalitaire. Mussolini résumera la politique fasciste en une devise : "Tout pour l'État, tout par l'État, rien hors de l'État".  Le fascisme le  rejette les droits de l'Homme, le communisme, l'anarchisme, les libertés individuelles et le libéralisme. Au contraire le fascisme a pour objectif de former un groupe unis et solidaire. Pour cela, tous et toutes doivent partager la même histoire et un destin commun, celui de créer une société forte. Il est donc primordial pour l'état fasciste de garantir l'homogénéïté du peuple (sur des critères ethniques, religieux et de classes). Le chef de l'état, le Duce en Italie, rassemblait les idées de patrotisme et de rénovation national et de pureté autour de son état et de son peuple. Ainsi il n'avait qu'à désigner l'homme à abattre comme « ennemi », « traître », « sous-homme ». Mais en aucun cas, le fascisme italien n'a pratiqué les massacres de masse de type hitlérien.
Benito Mussolini

Adolf Hitler

Le nazisme est souvent considéré comme une étape encore plus avancée, plus poussée du fascisme. Mais en vérité le nazisme s'oppose au fascisme, aussi bien sur le fond que sur la forme. Le nazisme se caractérise, à l'opposé du fascisme,  par l'objectif de détruire l'état (justice, armée, police...) et de détenir tous les pouvoirs importants entre les mains du parti NAZI et de ses dirigeants. Sur le fond, le nazisme s'oppose aussi au fascisme dans la mesure où le fascisme consolidait une société identitaire alors que le nazisme présuppose que la société identitaire est déjà supérieur à toutes les autres. Ainsi le nazisme compte une société, une race, supérieur : les aryens. Tous ceux qui ne sont pas aryens ne sont pas des surhommes, n'appartiennent pas à la race suprème. En dessous des Aryens, les nazis considéraient qu'il y avait encore trois catégorie d'"hommes" : les hommes libres (les Européens et les Japonais), les esclaves (les Slaves, les Africains et les Asiatiques exceptés les Japonais) et enfin Untermenschen, les sous-hommes (les Juifs et les Tziganes). Les hommes libres sont simplement inférieur aux aryens, les esclaves doivent servir la cause aryène, les Untermenschen doivent être détruits. La politique NAZI va également faire ce qui est appelé l'eugénisme. L'eugénisme consistait en la favorisation de la reproduction de la race supérieur et de l'empêcher génétiquement déficients (diabétiques, myopes...), des races inférieurs et mentalement non désirables (les criminels, arriérés mentaux, ...). Ainsi l'Allemagne a stérilisé plus de 200 000 femmes jusqu'en 1945. Un autre exemple est celui des homosexuelles, l'homosexualité étant considéré par les nazis comme une maladie. Les homosexuelles avaient le choix entre la castration ou le camp de concentration.

3) Et alors Nicolas Sarkozy ?

Que reproche-t-on au président de l'UMP depuis le début des campagnes pour la présidentielle, voir même un peu avant ?
Premièrement, il a payé chère les mots quasi-injurieux dit dans les banlieues. Kärcher, même si le mot utilisé par l'ancien ministre de l'intérieur était seulement celui qu'avait employé son interlocuteur, il est des termes qu'il ne vaut mieux pas utilisé. Pour ce qui est de Racaille, le mot est fort mais fautq quand même pas jouer les chochottes messieurs des banlieues. Dans ses termes, il n'y a rien avoir avec le fascisme ni le nazisme. En revanche, on a reproché à Nicolas Sarkozy d'avoir remplacé les polices de proximités par des troupes de CRS, d'avoir remplacé les liens privilégiés tissé depuis des années par des liens de violences, d'avoir remplacé une sorte d'éducation par une certaine répression. Ca c'est la militarisation, on peut le rapprocher des chemises noires sous Mussolini et des SS sous Hitler. De plus, l'on constate aujourd'hui, une augmentation des plaintes pour violence policière injustifiée. Ce serait du fascisme.
Deuxièmement, Nicolas Sarkozy n'a guère été aidé par les "scandales" (moi je trouve ça scandaleux) des pressions exercés sur un peut tout et n'importe qui. Sur les éditeurs du livre de sa femme, Cécilia Sarkozy, sur Azouz Begag pour l'empêcher de sortir un livre également (ce dernier va même se faire virer du gouvernement). Des pressions sur des maisons de disques, par exemple le titre : "Tiens ta femme, tu tiedras la France" est passé à la trappe. Des menaces contre des gens qui avaient la langue trop bien pendu, s'ensuit parfois des licensiement comme un type sur France 2 il n'y a encore pas si longtemps. On peut rajouter à cela la lettre envoyer au Monde, où Nicolas Sarkozy se plaignait d'être trop caricaturer façon Le Pen. Néanmoins, le caricaturiste dis ne pas avoir été victime de pression. On peut rajouter aussi, les pressions sur les médias pour que le débat de Ségolène Royal et François Bayrou n'ait pas lieu. Cette fois évincer les personnes génantes c'est clairement du totalitarisme et ça ressemble pas mal à la technique de l'homme à abbatre de Mussolini. Donc ici encore, j'y vois du fascisme.
Troisièment, son fameux ministère de l'immigration et de l'identité national. Un nom qui sonne FN, mais pire qui ressemble à la définition du fascisme : préservé l'identité d'une société.
Quatrièmement, les affreux propos de Nicolas Sarkozy sur les gènes. A l'occasion de cette bavure, Nicolas Sarkozy a réussi un coup de maître : rassembler PS et UMP derrière une même idée, une même désaprobation. Bref tous contre lui, lui contre tous. Mais cette théorie du pédophile, du suicidaire génétique ressemble pas mal à la théorie nazie. En revanche, ce qui n'a pas été dit dans les médias, ou alors très peu, c'est qu'il a dit que l'homosexualité est génétique aussi. "Michel Onfray est formel : << Sarkozy à estimé, à ce moment de notre entretien, que l'homosexualité, comme la pédophilie, c'était génétique. [...]>>" (dans le Canard Enchaîné du 18 avril 2007). L'homosexualité est génétique ? C'est clairement là même théorie scandaleuse que sous Hitler. C'est du Nazisme pur et dur, disons plutôt de l'Eugénisme pur et dur.



Conclusion : Il faut rétablir les proportions. Les actes fascistes n'ont pas le même impact que sous Mussolini. Il n'y a pas mort d'homme. Néanmoins, il faut aussi se dire que l'époque n'ait plus la même, que c'est bien plus grave de voir ça de nos jours parce que nous nous n'aurons pas la possibilité de dire "Ah ben si j'avais pu penser qu'il arrive ça !...". C'est d'autant plus grave que Sarkozy n'est encore que président du plus grand partis francais ! Qu'est-ce que se sera s'il est président ? Alors sachant tout ça, je dis oui, Sarkozy est un fasciste, en impuissance certes, mais certainement fasciste en devenir.
Ces théories sur la génétique n'est en revanche excusable à aucune époque, encore moins à la notre qu'à celle des nazis.
Nicolas Sarkozy est un fascistes doublés d'un eugénistes, tel est ma conclusion.

Quelle est la vôtre ?

Publié dans Politique

par Nicolas

Vendredi 27 avril 2007 à 23:19

II - Stalinisé qui croyait Staliniser :

Aller au chapitre I.


Ca y est Ségolène Royal et Francois Bayrou ont trouvé un point de chute télévisée et un point de chute radio. Ouf, ça aura été laborieux. En même temps on ne peut pas dire que les médias soient des chaînes de grandes audiences.
Le premier média est BFM TV. C'est une chaîne dont je n'avais jamais entendu parler. BFM TV est diffusé sur le réseau TNT et pour ceux qui n'ont pas la TNT, vous pourrez retrouvez le débat sur le site de BFM TV.
Le deuxième est RMC. C'est une radio dont j'avais vaguement entendu parler. Vous pourrez également suivre le débat sur le site de RMC, mais pas juste le son, l'image aussi !



Nicolas Sarkozy dit qu'il ne laissera "personne voler aux Français le deuxième tour des élections présidentielle". Il affirme que Ségolène Royal et François Bayrou lui font un "procès Stalinien". Tiens, tiens, Mini-Staline pris à son propre jeu ? Il dit également regretté "une politique de caniveau". Ce que je n'arrive pas bien à saisir, mon cher Sarkozy, c'est en quoi un surplus de débat, avec certe un invité surprise, peut nuire au débat ? Ca me semble plutôt paradoxale.

La solution est peut être déjà passé dans le Grand Journal de ce soir. Cette possibilité de solution s'est trouvé dans la bouche de Jean-Michel Aphatie. La discussion tournait autour de ce qui se passe pour les deux candidats et leur campagne. JM. Aphatie disait que la campagne ne bougeait que personne ne faisait de nouvelle proposition qu'il restait sur "leurs acquis". Il renchérit en expliquant que Nicolas Sarkozy a pour but de garder l'avance sur Ségolène Royal qu'il avait au premier tour. Pour Ségolène Royal de rattraper son retard.
Voilà peut-être pouquoi, d'une part, Ségolène tient tant à ce débat et que Nicolas Sarkozy n'en veut pas.

Vos impressions ?

Nicolas


La Ruda Salska - L'évolutionnaire

PS : Je vous propose un débat sur le chat de cowblog débat demain après-midi, à partir de 14h00. Vous y serez ?
Faites passer le message.

Publié dans Politique

par Nicolas

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